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C'est hyper simple, monsieur michel Onfray.

Publié le par Miteny

Je demande si n’importe quel corps frappé est une cause suffisante (1).
IL EST EVIDENT QUE PERSONNE NE CONSTATE CA !!
Un individu normal, sain d’esprit, se doit de dire la vérité : non, la douleur ça ne m’arrive que quand que mon corps frappé, donc pas quand n’importe quel corps est frappé !! Je répète : PAS QUAND N’IMPORTE QUEL CORPS EST FRAPPE !!

Voilà ce que tout le monde constate. Or c’est l’inverse de (1).

Mais malgré cette ENORME évidence, on me traite de fou, on m’insulte, on me hait, on me ment. Certains osent même dire qu’ils ne savent pas ce qui signifie « n’importe quel corps ». Et quand je leur suggère de retourner à l’école primaire (car c’est là-bas qu’on apprend la définition des mots les plus simples), on m’injurie, on me traite de tous les noms (les preuves sont les commentaires de ce blog). C’est horrible ! Un vrai cauchemar !
Mes amis me rejettent, on veut me traîner devant les tribunaux, je reçois des menaces de violence. Simplement parce que je dis la plus grande des évidences. Ce monde est encore plus machiavélique que ce que j’avais imaginé.

PS : Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray, Onfray.

 

Publié dans Archives 2006-2009

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La grande dépression.

Publié le par Miteny

Le monde va mal, de plus en plus mal, c’est clair. Y aura-t-il une révolution bientôt ? Parfois il m’arrive de me poser la question. Mais il y a une chose dont je ne doute pas : moi aussi je vais mal (ah… je suis sûr que vous pensiez que j’allais dire « le corps ne suffit pas »).
Pour plusieurs raisons : d’une part personne n’a le courage de valider la non-suffisance du corps (alors que tout le monde sait que c’est vrai) et tout s’écroule autour de moi (ce dont je suis assez fier puisque cela signifie que je ne suis pas adapté à ce monde pourri). Tant pis. C’est sûrement après ma mort que vous commencerez à vous poser la question de la pertinence de mon discours. Pour l’instant, vous préférez votre orgueil et votre prétention à la plus élémentaire des humilités. Mais quand tout ira vraiment mal, ne venez pas pleurer. Mes ennemis organiseront donc bientôt une fête. Mais faites attention, car cette fête ne durera pas longtemps ! Vous regretterez alors amèrement votre comportement.

PS : Finalement, je vais peut-être la faire cette grève de la faim l’année prochaine (aurai-je le choix ?).

Publié dans Archives 2006-2009

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