On dit que la sensation douloureuse que l'on ressent quand on a mal est produite par le fonctionnement du corps. Si l'on admet cette affirmation, on est obligé d'admettre que frapper un corps, quel qu'il soit, avec un marteau par exemple, va aussitôt être la cause d'une vive sensation douloureuse au niveau de ce corps.
Vous êtes bien d'accord ?
Voici le schéma qui correspond à cette affirmation pour 3 corps (schéma 1).
3 corps sont frappés, donc 3 douleurs sont produites, donc 3 douleurs sont représentées, bien évidemment.
Or personne, au grand jamais, ne peut avoir mal à plusieurs corps en même temps !!
C'est complètement débile. Ce schéma ne correspond pas à la réalité, bien évidemment !! Arrêtez d'être fous à lier !!
LA THEORIE DE LA SUFFISANCE DU CORPS EST HYPER FAUSSE.
Je rappelle que j'ai examiné cette théorie sur toutes les coutures. Voici d'ailleurs un résumé de l'ensemble des réponses que j'ai pu faire aux 50 000 commentaires postés sur ce blog : mes réponses à vos questions.
Ce qui m'étonne toujours, c'est que ce raisonnement hyper-simple et super-méga-évident continue de s'attirer les foudres d'une ribambelle de crétins dont la haine de Dieu et de la vérité semble à jamais inextinguible.
Dans ces conditions, comprenez que je sois plus que motivé pour continuer à proposer de l'argent à quiconque serait capable de me faire douter de ces évidences.
C'est la raison pour laquelle je renouvelle dans cet article ma promesse solennelle d'offrir 3000 Euros à la personne qui trouverait une faille dans ce raisonnement sans failles plus évidemment les 100 Euros que je dois à chaque abonné à la newsletter s'il s'avère que je me trompe.
Au jour d'aujourd'hui, le total de ces sommes est de 11900 Euros.
Si je me trompe, je jure de payer... par chèque pour les 3000 Euros et par chèque ou en liquide pour les abonnés, selon leur choix. Je préfère que la distribution de l'argent de ceux qui auront souhaité toucher leurs gains en liquide se fasse à Paris, devant la cathédrale Notre Dame. Un beau bordel en perspective... N'oubliez pas, dans ces cas là, ce sont les femmes et les enfants d'abord !!
Je dis bien « si » cela arrive car, à mon avis, il est impossible que cela arrive. Comment voulez-vous me faire douter que la suffisance du corps correspond au schéma 1 ??
Mon corps torturé, un autre corps torturé : comment voulez vous me faire douter que ce que je constate c'est une énorme différence entre les résultats de ces deux expériences ?
Comment voulez vous me faire douter que matériellement les deux expériences sont équivalentes et que donc je constate une exception inexplicable biologiquement ?
Franchement je ne vois pas... J'ai beau cherché, je ne vois vraiment pas. En fait ma démonstration est d'une évidence extrême et il faudrait poursuivre mes détracteurs en justice pour dissimulation de la vérité en vue d'une entreprise malfaisante de destruction de la planète et de l'humanité.
On peut toujours rêver...
Cette situation est tellement affligeante de bêtise qu'il est probable qu'un jour ou l'autre j'abandonne toute tentative de communication même élémentaire avec une telle bande de racailles. Je ne me contenterai alors d'assister à l'agonie de l'humanité depuis mon canapé rouge pliable.
Je n'ai pas réussi à donner à la conscience une formulation mathématique et objective : au contraire, dans l'article précédent, j'ai démontré l'incapacité de n'importe quel processus physique à en être à l'origine. J'ai prouvé qu'il fallait considérer l'existence d'un autre type de force, le lien métaphysique. Mais qu'est-ce que cela pourrait être ? Comment faire pour le savoir ???
Procédons avec rigueur, repartons du début, reposons nous la question de base, à savoir celle de la nature de la conscience.
Il y a conscience de l'existence d'un phénomène par exemple, lorsque ce phénomène devient connu. Cela paraît évident. Autrement dit, de la conscience est produite lorsque de la connaissance est produite, c'est à dire lorsque de l'information est transformée en connaissance. La production de la conscience a lieu lorsqu'une valeur d'existence est donnée à une information.
Déjà en 2005, lors de mes premières publications sur Internet, j'avais compris que le problème était bien la production de la connaissance : au lieu de prendre l'exemple de la douleur, j'avais pris l'exemple de la connaissance de l'existence d'un événement. Dans cet article par exemple, je montrai que le corps ne pouvait pas à lui seul produire cette connaissance.
C'est d'une grande évidence mais totalement transparent pour les internautes. Hélas à l'époque, j'étais bien naïf et totalement incapable d'appréhender l'incommensurable immensité de leur bêtise visqueuse. Et dire que j'ai quand même continué à essayer de leur faire comprendre quelque chose pensant qu'il n'était pas physiologiquement possible d'être assez débile pour ne pas savoir faire la différence douleur/pas douleur !
Et bien on peut dire que je suis tombé de haut...
Passons et revenons à nos moutons : évidemment, cette « valeur d'existence » de la connaissance ne peut être donnée qu'à une seule information cohérente, à un seul endroit. On ne peut donner à une information liée par exemple à une agression du corps une valeur d'existence à un endroit et à une information liée à un plaisir une valeur d'existence à un autre endroit : il y aurait contradiction et perte de valeur. Je l'ai déjà expliqué dans l'article précédent.
Pour qu'une information traitée ait de la valeur et devienne conscience, il faut qu'elle soit la seule à être qualifié d'existante dans une réalité et une seule. On ne peut être conscient que d'une seule réalité cohérente à la fois, bien sûr.
En outre, il faut que l'information soit traitée par le cerveau humain, c'est à dire par une structure complexe capable de décoder l'information pour qu'ensuite la qualité d'existence lui soit affectée.
Pour mieux comprendre ce point précis, imaginons que l'on souhaite construire un robot ayant un comportement plus ou moins humain. On va lui mettre des yeux bien sûr, des oreilles et même des fils qui lui serviront de nerfs. Mais tout cela ne suffira pas. Il faudra une unité centrale capable de décoder les informations reçues pour les classer. Ainsi les images capturées par les caméras utilisées pour la vue devront être décryptées par le robot pour que celui-ci comprenne que ce qu'il voit est un arbre par exemple. L'analyse de l'image lui permettra de comprendre qu'il doit ranger ce qu'il voit dans la catégorie « arbre » et d'éventuellement décider de le couper si on lui a donné l'ordre de couper quelque chose de la catégorie « arbre ».
De même les signaux électriques venant des fils servant de nerfs devront être identifiés comme correspondant par exemple soit à du plaisir soit à de la douleur. Je ne prétends pas que l'on puisse créer un robot capable de ressentir de la douleur, ce serait contraire à ma démonstration, je dis simplement qu'on peut programmer son « cerveau » pour qu'il range les signaux venant de certains fils dans une catégorie « douleur » dont le remplissage pourrait lancer automatiquement un programme de retrait du bras voire un déclenchement d'un mp3 disant « aie! ».
Voilà donc pourquoi il faut un cerveau, c'est à dire un système capable de décoder les informations. Mais comme je l'ai maintes fois démontré, ce savant décodage ne suffit pas à l'émergence de la si précieuse conscience. Il faut quelque chose en plus qui donne à l'information traitée une qualité d'existence. Mais alors qui la lui donne ?
Pas la matière, c'est impossible, je l'ai assez répété et re-répété. Pour comprendre, il faut retourner un peu en arrière et reprendre le concept de Substance : rappelez-vous, j'avais démontré l'existence nécessaire d'une entité dont la qualité principale est la nécessaire existence. L'existence... Ne serait-ce donc pas directement ELLE qui affecterait à l'information traitée une valeur... d'existence justement ??
Ce serait parfaitement logique et on ne peut plus beau. Car cela signifierait que la conscience est quelque chose de fondamentalement divin. Quelque chose qu'on ne pourra jamais recréer, quel que soit le savoir technologique dont on disposera. Quelque chose d'authentiquement et ONTOLOGIQUEMENT sacré !! Je l'avais d'ailleurs déjà expliqué dans cette article.
Parce qu'il faut un ingrédient qui vient directement de Dieu, qui est directement de la Substance : une « qualité d'existence », une « valeur d'existence » qu'on ne peut pas recréer parce qu'elle nous transcende.
Seule la Substance peut transformer l'information en connaissance, c'est à dire lui donner la valeur qu'il faut. C'est le résultat incroyable que j'affirme être vrai (de quoi faire une nouvelle religion).
J'ai déjà expliqué dans un article précédent pourquoi on peut dire que le monde est un langage. Le Fils de Dieu est un langage, la Parole. Et le Père est l'esprit, c'est à dire la conscience. Plus exactement, ce qui permet au monde, c'est à dire au langage d'exister, c'est à dire de révéler le Père.
Le Père engendre le Fils et le Fils révèle le Père. C'est très biblique tout ça. C'est très biblique, mais également très vrai, fabuleusement vrai, je viens de vous l'expliquer.
Au début de ma réflexion, je me demandais s'il était possible de modéliser la conscience, c'est à dire de l'exprimer sous forme de langage mathématique, de processus physique. C'est en effet en partie possible, mais il y a un élément fondamental qui intervient et qu'on ne peut réduire à un concept dérivant des 0 et 1 initiaux : la Substance, qui, seule, peut donner à l'information sa valeur.
Ainsi, je peux maintenant répondre tout à fait sereinement à la question que l'on me pose souvent : oui, le corps ne suffit pas, oui il faut autre chose et OUI cette autre chose est l'essence même de la Substance divine !!!
OUI, mesdames messieurs les jurés, l'insuffisance du corps prouve directement l'existence de Dieu !
La boucle est bouclée, et c'est magnifique. D'ailleurs, une fois n'est vraiment pas coutume, en cette occasion, comme je viens de réhabiliter le sacré, je vous propose un petit chant religieux.