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Le centre serveur métaphysique.

Publié le par Miteny

Troisième article de ma petite série sur le messie...
J'ai expliqué, dans cet article d'août 2012, le fait évident que plusieurs consciences coexistent dans le monde et que donc il y a plusieurs écrans, plusieurs liens métaphysiques entre le monde matériel et la substance divine.
Cela signifie que chaque corps humain est relié à une même source de cette Substance. C'est en tout cas ce qu'implique les conséquences de ma démonstration de l'insuffisance du corps.
Celle-ci a été tant critiquée, tant examinée, tant décortiquée sur ce site qu'on ne peut maintenant plus la remettre en doute, je pense que vous en conviendrez. Je rappelle que personne n'a gagné les 3000 Euros que le blog propose...
Autrement dit, on ne peut remettre en question le fait que chaque corps humain soit connecté à cette « autre chose » que j'ai identifié comme étant quelque chose d'irréductible, c'est à dire non modélisable, non reproductible avec la matière de quelque manière que ce soit, et donc de nature purement divine... si j'ose dire.
Nous avons ainsi d'un côté le monde matériel que tous se partagent, mais aussi d'un autre côté une source de substance divine auquel chacun aurait accès.
Cette matière qui est la même pour tous nous permet de communiquer : en effet, comme je l'ai déjà expliqué, il s'avère que la matière n'est rien d'autre que de l'information.
Mais la question que j'ai envie d'évoquer avec cet article ne concerne pas la matière : puisqu'il semble que nous partagions également de la substance divine, j'aimerais en fait savoir si cette dernière ne pourrait pas nous permettre de communiquer d'une autre manière, complètement différente...
J'ai déjà suggéré cette éventualité dans l'article du 27 novembre 2012 : le lien métaphysique aurait permis aux prophètes d'être inspirés et à Daniel de donner des dates... Ou pas.
Force est de constater qu'on ne sait pas grand chose sur les relations entre la substance divine et le cerveau humain. L'année dernière, je soupçonnais le fait qu'il soit différent chez chaque individu, mais c'est bien tout. Son étude est un champ de ''recherche'' pratiquement vierge, on peut le dire. Or beaucoup d'autres questions se posent, évidemment. Quelques exemples :
1.Où se trouve le lien métaphysique dans le cerveau ?
2.Peut-il changer de place ?
3.À quel traitement de l'information donne-t-il ce que j'ai appelé une ''valeur divine'' ?
4.L'intensité de cette valeur peut-elle changer ?

 Comme je le proposais dans l'article nommé plus haut, imaginons que l'action métaphysique puisse varier dans l'espace, dans le temps et en intensité : il y aurait alors suffisamment de paramètres variables pour qu'un transfert d'informations soit possible.
En outre, tous les liens métaphysiques ne peuvent provenir que de la même source. Si ce n'était pas le cas, alors cela signifierait qu'il existe plusieurs sources indépendantes, donc plusieurs dieux indépendants. Ce qui est évidemment en contradiction totale avec la nécessaire unicité de la Substance cause de soi.
Cela implique donc que tous ces liens métaphysiques se rejoignent en un point central. Bien.
Et à quoi assimiler ce point central si ce n'est à un grand centre serveur de substance divine ?!!
L'année dernière, dans ce fameux article du 27 novembre, j'avais identifié l'existence d'un ''endroit du monde spirituel où se trouvent les commandes des différents liens métaphysiques'' : en effet, tout se passe comme si chaque corps recevait plus ou moins de la substance sacrée parce que connecté à un grand centre serveur de substance divine où se trouveraient donc les commandes de ces différents liens.
Or, Dieu cause de lui-même possèderait au moins deux facettes : la force active, créatrice du langage à l'origine du monde et sa substance ''sacrée'', nécessaire à l'existence de la conscience humaine. J'en profite pour répéter pour la 20 000ième fois que la mise en évidence de l'insuffisance du corps démontrerait l'existence de cette substance sacrée. Que les sceptiques se taisent...
Cette force active a créé non seulement la matière mais aussi tous les liens métaphysiques. Donc aussi le centre serveur. Il n'y a ainsi qu'elle qui peut gérer l'intensité du lien métaphysique ainsi que sa localisation dans chacun des cerveaux reliés au centre serveur.
Cette ''force'' gère cela de façon sans doute assez sommaire : la plupart du temps, elle doit se contenter de les créer à la chaine. Mais elle en a le contrôle, ce qui est un pouvoir extraordinaire.
Nous avons vu que le lien métaphysique peut sans doute varier dans l'espace, dans le temps et en intensité et que donc un transfert d'information est probablement possible entre le souffle de Dieu et une personne. Et dans les deux sens, bien sûr puisque cette force divine a directement accès à la subjectivité de chacun d'entre nous.
Par conséquent, il serait a priori envisageable que cette ''force active décide'' un jour de prendre ses ordres au niveau d'un corps humain bien particulier. La personne en question pourrait alors prendre le contrôle de ce fameux très hypothétique centre serveur.
Certes, ce que j'écris là peut s'apparenter à de la grosse science-fiction, bien tirée par les cheveux. Mais c'est de la science-fiction légitime, beaucoup moins débile que celle que l'on voit au cinéma : n'oublions pas que j'ai démontré l'existence du lien métaphysique, de la substance sacrée, de la force active de Dieu, etc...

J'ai mis en évidence un monde métaphysique dont personne ne parle. Il est parfaitement normal que je spécule sur les possibilités qu'il offre...
Comme à chaque fois dans ce genre d'article aussi difficile à écrire qu'à comprendre, il me faut faire un point, un résumé.
J'ai donc écrit que :

1. Tous les liens métaphysiques ne peuvent provenir que d'une même source.

2. La communication entre cette source, provisoirement appelée ''centre serveur'', et une conscience humaine est plausible.

3. C'est la force active de Dieu qui gère ce centre serveur métaphysique.

4. Il est ainsi envisageable que cette ''force active décide'' un jour de prendre ses ordres au niveau d'un corps humain bien particulier.

À suivre... (Le suspens est à son comble).

Humblement vôtre.


Post-scriptum : si jamais vous vient l'envie de rire bêtement, j'aimerais vous rappeler pour la troisième fois en quelques lignes que j'ai démontré l'insuffisance du corps et que je promets 3000 Euros à celui qui mettrait en évidence une erreur dans ma démonstration ainsi que 100 Euros à chaque abonné à la Newsletter si je me trompe. Soit aujourd'hui une somme totale de 12300 Euros en jeu... Sans les primes.

Publié dans Archives 2012-2014

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Poème en baie de Somme.

Publié le par Miteny

Aujourd'hui, je vous propose une petite digression poétique sans prétention.
Mmmm... (je me racle la gorge).


Allongé sur le sable, je contemplais la mer,
les limicoles, les mouettes et quelques spatules
bref tous ceux qui dans le sol cherchaient des vers,
juste caressés par la lumière du crépuscule.

J'étais fort ravi de me trouver en ce lieu
sublime, reposant mais aussi mystérieux
puisqu'on ne savait jamais où trouver les moustaches
d'un sympathique animal, curieux et potache.

Après avoir passé une nuit sous les étoiles,
je me décidai donc à hisser la grand-voile.
Mon objectif : voir enfin ces gracieuses bêtes,
et avec eux, dans l'eau de la baie, faire la fête.

Hélas, point de vent, je dus donc prendre les rames
d'un kayak loué avec un groupe de jeunes femmes.
Parmi elles, une déesse à la chevelure blonde
dont les charmants yeux me fixèrent quelques secondes.

Je sentis une émotion inonder mon cœur
ajoutant de l'intensité à mon bonheur,
qui pourtant déjà, sous ce ciel si agréable,
avait atteint des sommets insoupçonnables.

Et que dire lorsque je vis pour la première fois
enfin des phoques ''veaux marins'' plonger devant moi !
Je voulus sauter dans l'eau pour jouer avec eux
sans même penser au courant, bien trop dangereux.

Devinant mon instinct refoulé de nageur
la demoiselle me fit un sourire ravageur
et en cet instant magique, je compris le sens
que pouvait parfois avoir le mot ''attirance''.

Ô baie de Somme, huîtrier-pie, tadorne de belon !
Que j'ai aimé pour vous écrire cette chanson
qui à certains aura pu rappeler ''Potemkine''
fredonné en ces lieux pour charmer les copines.

Mis à part la « private joke » de la dernière strophe, je pense que vous avez tout compris : ce poème se veut être un hymne à cette charmante zone naturelle qu'est la baie de Somme.
Cet endroit a selon moi de nombreux atouts : tout d'abord c'est une baie, faite de sable, de canaux et de prairies. Donc c'est joli. Il y a juste à côté de grandes plages bordées de dunes où il est agréable de marcher pieds nus à condition d'éviter le crottin de cheval ou de dormir à condition d'aimer les puces de mer.
On peut se baigner dans une eau qui atteint parfois 18 degrés - non, ce n'est pas froid ! - en observant le travail des mytiliculteurs.
Ensuite le marnage y est important, environ 9 mètres : il y a donc du changement, du mouvement sans arrêt. Tous ces courants qui vont et viennent dans tous les sens, c'est assez rigolo à observer je dois dire.
Et surtout la faune est exceptionnelle : on peut y rencontrer de nombreuses espèces d'oiseaux rares comme la spatule blanche, le tadorne de belon, l'huîtrier-pie, la sterne, les limicoles, l'avocette, l'aigrette, diverses espèces de chevaliers, de bécasseaux, de courlis, de gravelots. En automne, on peut voir des canards siffleurs, des canards pilets, des fuligules, des garrots, des bécassines et en hiver des plongeons, des grèbes huppés, des macreuses voire des eiders à duvet. Et d'autres encore...
C'est quand même énorme.
Et puis, bien sûr, il y a les phoques qui au cours de ces dernières années se sont multipliés dans la baie de façon vraiment réjouissante. Deux espèces sont présentes : le phoque veau-marin qui peut peser jusqu'à 120 kg et le phoque gris, plus gros, dont le mâle peut atteindre 4 mètres de long pour un poids de 500 kg.
En 1997 il y avait seulement 50 veaux-marins et quelques phoques gris. En 2003 les veaux-marins, bénéficiant des mesures de protection, étaient déjà une bonne centaine et les phoques gris une dizaine. En 2011 300 veaux-marins et presque 100 phoques gris se partagent la baie.
Une progression formidable qui montre que les mesures de protection et de dé-pollution peuvent faire beaucoup.

 

2011-fd306.png

Il suffit de le vouloir...

 

phoque1.jpg

 

Si vous avez envie de vous rendre utile, parrainez un phoque avec Picardie Nature.

 

Publié dans Best of chansons

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