Why am I me?

Publié le par Miteny

Stéphane m’a proposé de lire l’article suivant qui traite précisément du sujet principal de dieuexiste.com. Pour vous montrer que la réponse à cette question est loin d’être simple, voici ce qu’en dit Mr Bidstrup :

« This is a question that almost everyone has asked as a child, but with all our modern technology and scientific insight, no one knows.”

Tout à fait d’accord (D’ailleurs Jésus ne disait-il pas que les enfants étaient plus proches du royaume des cieux que les adultes?). Donc après avoir assez bien posé la question (enfin… pas si bien que ça puisqu’il ne se rend pas compte qu’il pose la question de la suffisance du corps), la réponse qu’il fournit est pour le moins étrange. C’est là que j’ai commencé à moins comprendre ce qu’il voulait dire. Je retiendrais néanmoins la phrase suivante :

« Why am I me, then? It is simply because I am the only thread of congruences that is progressing through the multiverses that I am progressing through. It is really that simple. »

Une formidable non-réponse ! Car la question est toujours là ! Il suffit de remplacer le « pourquoi ce corps là » par le « pourquoi ce thread là ». A moins que mon niveau d’anglais ne me joue des tours ?

 

PS : je rajouterais que l’exemple que j’avais donné ici est aussi présenté dans la thèse de Bruno Marchal. Je lui ferais cependant un reproche : il n’a pas compris que le point de vue véritablement objectif est le point de vue vrai pour tout le monde et non pas le point de vue du scientifique qui étudie le fonctionnement des corps en oubliant qu’il en a lui-même un (ce qui est le comble de l’orgueil scientifique d’ailleurs).

Publié dans Archives 2006-2009

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
tu est loin du compte mon ami
Répondre
G
Miteny est suffisant.<br /> <br /> Le corps suffit!
Répondre
S
J'ai amorcé la traduction du texte. Elle sera prête bientôt!
Répondre
M
Ce n'était pas la peine ! (je crois avoir compris)... ou alors juste la fin, celle qui devient surréaliste pour finalement ne pas répondre du tout à la question.