L'arc en ciel.

Publié le par Miteny

Un jour, alors que je prenais une photo, un arc-en-ciel m’est apparu.

 

C’est alors que les paroles rapportées par Noé me sont revenues en mémoire : Genèse 9.14-15. J'ai placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d'alliance entre moi et la terre.  Quand j'aurai rassemblé des nuages au-dessus de la terre, l'arc paraîtra dans la nue;  et je me souviendrai de mon alliance entre moi et vous, et tous les êtres vivants, de toute chair, et les eaux ne deviendront plus un déluge pour détruire toute chair. Si l’on en croit la Bible , avant -2300 avant JC, il n’y avait pas d’arc-en-ciel donc. Ce qui signifierait qu’en quelque sorte, il ne serait pas un effet de la diffraction de la lumière par l’eau de pluie ou qu’avant, la diffraction n’existait pas…

Très difficile à croire. Mais il y a des gens qui, encore aujourd’hui, choisissent d’adopter cette attitude intégriste qu’ils croient être celle d’un fidèle dévoué et sincère. Est-ce parce qu’ils veulent croire en un discours qui les rassure ? Ou est-ce parce qu’ils sont persuadés que ça c’est vraiment passé comme ça ? (là, c’est plus grave).

Publié dans Archives 2006-2009

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G
Miteny est suffisant!
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G
Le corps suffit!
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6
Tu as répondu , Q1 , a Loic :<br /> <br /> "Non. On ne peut pas « constater » la douleur ressentie d’autrui… même indirectement."<br /> <br /> pourtant, en anglais :<br /> <br /> "Magnetoencephalography is a new functional brain imaging technology which allows the non-invasive determination of cortical and subcortical neuronal assemblies involved in the processing of pain. In healthy subjects 4 pain relevant activity centers could be reliably identified which were activated by brief radiant infrared laser heat pulses: the ipsilateral SI area, the bilateral SII areas and a premotoric frontal activity. The localisation these cortical areas was based on the individual head and cortex anatomy. "<br /> <br /> (http://www.springerlink.com/content/a7l9542020l56807/)
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L
Très belle photo...mais peut-etre il n'y avait pas de pluie...
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A
Bouhouhou, moi je rêve que quelqu'un de rationnel et cultivé comme Loïc me commente mes articles pour réellement avancer depuis le jour où j'ai crée mon blog, il y a tant à discuter et si peu de gens avec qui le faire... snif!<br /> <br /> Loïc si tu en as fini avec Miteny, ça te dis pas un petit tour par chez moi dans mes sections genèse et chaos? Me donner ton avis sur mes réflexions? Bon ce sera surement beaucoup moins drôle pour toi qu'ici, on se comprend.
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L
"""""Exemple : les infrarouges existent car tout le monde peut le constater (pas directement mais ça ne change rien)."""""<br /> <br /> >> Oui, de même que tout le monde peut constater (pas directement) que la douleur existe, chez soi comme chez autrui, via un instrument de mesure mettant en évidence, par exemple, l'activation nerveuse signant la douleur dans l'organisme considéré. Oui ou non Miteny ?<br /> <br /> """""Je rerépète. Les causes peuvent être distinctes mais équivalentes."""""<br /> <br /> >> Jamais dit le contraire. Simple rappel de logique : à causes distinctes, effets distincts. Oui ou non Miteny ?<br /> <br /> """""Exemple : j’appuie sur l’interrupteur à 11h j’appuie sur l’interrupteur à 11h30. 2 fois les mêmes causes. Simple à comprendre pourtant."""""<br /> <br /> >> Exemple non pertinent, puisqu'il s'agit en l'occurrence du même interrupteur (objet). Dans le cas de la douleur, nous avons deux objets : le corps d'une personne et le corps d'une autre personne. Par ailleurs, si tu appuies sur TON interrupteur, ce n'est pas la même chose que si j'appuies sur le MIEN : dans les deux cas, il y aura de la lumière (identité de fonctionnement), mais en aucun cas, la pression de l'interrupteur chez l'un ne peut provoquer la lumière chez l'autre (identité d'objet). C'est exactement la même chose pour la douleur. Oui ou non Miteny ?<br /> <br /> """""(remarque : tu as écrit SA main… pas n’importe quelle main donc…)"""""<br /> <br /> >> Oui, SA main, puisque la douleur est, par définition (tu as toi-même admis cette définition !), une SENSATION, c'est-à-dire un phénomène propre à un organisme particulier. Par conséquent, parler de "n’importe quelle main" n'a aucun sens. <br /> <br /> """""Il me semble évident que tu n’as plus d’argument à proposer et que tu préfères fuir devant la pertinence de mon raisonnement (un peu comme un religieux qui fuit quand on lui fait comprendre que le déluge n’a pas pu exister)."""""<br /> <br /> >> Etant donné que tu n'as répondu à aucune de mes objections, je vais prendre cette remarque pour de l'autodérision. <br /> <br /> """""Tu sembles aimer avoir le dernier mot… mais là c’est raté."""""<br /> <br /> >> Il ne s'agit pas tant d'avoir le dernier mot que de réagir de manière adulte. Après t'avoir donné à plusieurs reprises la possibilité de sortir de tes ornières obscurantistes sans que cela soit suivi d'effet, j'estime préférable de m'en tenir là. Non pas parce que je reconnais la pertinence de ton "raisonnement" - pour moi, tu n'as produit aucun raisonnement - mais parce que je sais reconnaître la mauvaise foi lorsque j'ai affaire à elle. C'est dommage et tu ne fais vraiment pas honneur aux croyants en te comportant de la sorte.<br /> <br /> Bon vent !<br /> <br /> PS : je te laisse bien volontiers le dernier mot. Je ne doute pas que tu ne répondras toujours pas à mes questions, au profit d'une énième présentation de ton "raisonnement".
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M
q1. Non. On ne peut pas « constater » la douleur ressentie d’autrui… même indirectement.<br /> <br /> q2. Pas du tout. Je vois que tu n’as pas du tout compris mon raisonnement.<br /> C’est un peu l’exemple de mon animation en plus… Visionnes là encore : un éclair sous une lampe : lumière (l’éclair c’est un peu comme si on appuyait sur l’interrupteur… il faut vraiment tout t’expliquer… j’ai l’impression d’être instit de maternelle parfois).<br /> Un coup sur un corps : douleur ? NON et non.<br /> <br /> Q3. Ah bon ? Tu ne sais pas ce que c’est, n’importe quelle main ?
L
"""""j'affirme que le corps ne suffit pas en constatant que la conscience de la douleur est particulière."""""<br /> <br /> >> La douleur étant elle-même particulière, c'est-à-dire propre à un organisme donné, en vertu de sa définition même (la douleur est une SENSATION) je vois mal pourquoi et comment la conscience de la douleur ne le serait pas. La LOGIQUE élémentaire, Miteny. <br /> <br /> """""Ma démonstration est évidente. Tellement évidente que tu en arrives à dire qu'avoir mal ou ne pas avoir mal, c'est pareil (même effet). Il faut le faire quand même !"""""<br /> <br /> >> Tu déformes mes propos, afin de ne surtout pas répondre aux questions embarrassantes que je te pose depuis plusieurs semaines (notamment sur quelle base tu établissais ton choix, selon les cas, de l’intersubjectivité scientifique ou de ta seule subjectivité). Je n'ai jamais dit qu'avoir mal ou ne pas avoir mal était "pareil", j'ai dit qu'à partir de ta proposition "les mêmes causes produisent les mêmes effets", si tu reconnais toi-même que les causes sont distinctes (ce que tu as fait sur un autre billet, mais apparemment tu as la mémoire courte), alors il est LOGIQUE que les effets soient également distincts, ce qui aboutit, en aval, à l'identité de fonctionnement "si une personne met sa main dans le feu, alors elle ressentira de la douleur", mais pas, là encore en toute LOGIQUE, à l’identité d’objet, précision inutile pour toute personne sensée : la personne X n’étant pas la personne Y, si la personne X met la main dans le feu, alors la personne Y ne ressentira aucune douleur. <br /> <br /> A présent, Miteny, je vais prendre congé. Je voulais tenter l’aventure encore une fois, te prêtant de meilleures intentions qu’auparavant, mais il est désormais évident que tu ne recherches absolument pas le dialogue, que tu ne respectes absolument pas la logique et qu’au final, tu méprises absolument tes interlocuteurs. Dans dix ans, tu en seras encore à ton raisonnement imbécile, persuadé de tenir là une découverte révolutionnaire et rejetant toujours toute objection, aussi élaborée et pertinente soit-elle. Dans ces conditions, je ne vois pas l’intérêt de poursuivre notre conversation qui relève, en réalité, du monologue tragicomique commué en parangon du psittacisme. En te souhaitant bonne continuation sur les chemins de la mauvaise foi et de l’absurde. <br /> <br /> Loïc
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M
Mais je REPETE : ce que tu appelles l’intersubjectivité scientifique c’est le point de vue « vraie pour tout le monde ».<br />  <br /> <br /> Exemple : les infrarouges existent car tout le monde peut le constater (pas directement mais ça ne change rien).<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> Je rerépète. Les causes peuvent être distinctes mais équivalentes.<br />  <br /> <br /> Exemple : j’appuie sur l’interrupteur à 11h j’appuie sur l’interrupteur à 11h30.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 2 fois les mêmes causes. Simple à comprendre pourtant.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> "si une personne met sa main dans le feu, alors elle ressentira de la douleur"<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> Oui et alors ? Ce n’est pas la question posée !<br />  <br /> <br /> En quelle langue il faut que je le dise : IT’S NOT THE QUESTION. Das ist nicht die Frage.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> (remarque : tu as écrit SA main… pas n’importe quelle main donc…)<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> Il me semble évident que tu n’as plus d’argument à proposer et que tu préfères fuir devant la pertinence de mon raisonnement (un peu comme un religieux qui fuit quand on lui fait comprendre que le déluge n’a pas pu exister).<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> Tu sembles aimer avoir le dernier mot… mais là c’est raté.<br />  <br />
L
Tu sais, Miteny, en matière d'intégrisme... Il y a bien des gens qui affirment que la douleur, tout en étant particulière par définition, devrait être générale et que le fait qu'elle ne le soit pas prouve l'existence de Dieu. Certainement un discours qui les rassure, malgré son illogisme patent.
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M
j'affirme que le corps ne suffit pas en constatant que la conscience de la douleur est particulière. <br /> Ma démonstration est évidente. Tellement évidente que tu en arrives à dire qu'avoir mal ou ne pas avoir mal, c'est pareil (même effet). Il faut le faire quand même !