Est-ce vraiment une démonstration??

Publié le par Miteny

Non, je n’ai pas (encore) changé d’avis. Simplement je me dis que mon raisonnement n’est pas une démonstration mais plutôt un constat. En effet, je constate que la douleur n’est produite que par un seul corps : ça saute aux yeux, c’est d’une évidence déconcertante. Comme de nombreux commentaires l’ont confirmé jusqu’à maintenant, pour tout le monde, c’est assez clair : la douleur n’est issue que d’un seul système nerveux (cerveau compris), le sien.

Ce n’est pas une démonstration, ça, c’est bel et bien un constat. Et chacun d’entre nous devrait se poser la question : pourquoi celui là ??? Normalement, puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets, cela devrait être tous les corps ou aucun, n’est-ce pas ? Pas un seul (pas plus un seul que 2 ou 3 d’ailleurs).

On m’a fait plusieurs fois le commentaire suivant : Si Dieu est Dieu alors son existence doit être évidente. Oui, et effectivement, elle l’est.

PS : n’oubliez pas la chanson de dieuexiste.com « le blues du mec qui doute ».

Publié dans Archives 2006-2009

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G
Miteny est suffisant.<br /> <br /> Le corps suffit!
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M
je répète: tu expliques tout comme un gosse de 3ans qui croit que quand il cache ses yeux derrière ses petites mains plus personne ne le voit!<br /> <br /> ce n'est pas parce que tu as mal que tu peux déduire ce que tu en déduis en cascade.<br /> <br /> ...et je ne nie pas ta douleur!<br /> <br /> ... même si je sais que je n'aurais probablement jamais personnellement l'expérience de TA douleur pour en attester!<br /> c'est de la confiance en ta plainte, de la compassion, de la compréhension des concepts que tu avances sur l'expression de ton ressenti physique ou moral.<br /> par comparaison avec mes supposées expériences similaires.<br /> nous ne pouvons jamais avoir la certitude de ressentis similaires et a fortiori de ressentis "clônés"...sauf à développer un sens supplémentaire ou à le découvrir... (intuition? vibration? compassion?...quelques pistes...)<br /> <br /> au risque de me répéter, je comprends tes mots mais ne leur accorde pas la valeur de démonstration, TU PIGES!!!?<br /> <br /> à toi de faire un effort pour accepter les réfutations -ou non, mais avec dignité, pour changer!<br /> <br /> et puis bon euh t'es bien gentil mais tu n'apportes rien dans tes réponses et tu refuses de proposer des réponses adaptées, on dirait un robot...n'es-tu pas une créature divine? me serais-je trompée?
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M
<br /> je n'essaie plus de t'expliquer, je sais bien que tu ne comprendras rien. Plus je te lis, plus je me prends pour un génie. Merci<br /> <br /> <br />
M
"Normalement, puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets, cela devrait être tous les corps ou aucun, n’est-ce pas ?<br /> Pas un seul (pas plus un seul que 2 ou 3 d’ailleurs)."<br /> <br /> >>>>>>>>>>>c'est drôle ça... tu oublie le caractère aléatoire de notre constitution, de notre inné et de notre acquis.<br /> <br /> pourquoi veux-tu absolument que nous partagions la même réalité fonctionnelle et sensorielle?!!!<br /> <br /> sans parler psychologie, conscience sens 1 ou 2, conditionnements et autres dogmatismes...
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M
"Normalement, puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets, cela devrait être tous les corps ou aucun, n’est-ce pas ?<br /> Pas un seul (pas plus un seul que 2 ou 3 d’ailleurs)."<br /> <br /> >>>>>>>>>>>c'est drôle ça... tu oublie le caractère aléatoire de notre constitution, de notre inné et de notre acquis.<br /> <br /> pourquoi veux-tu absolument que nous partagions la même réalité fonctionnelle et sensorielle?!!!<br /> <br /> sans parler psychologie, conscience sens 1 ou 2, conditionnements et autres dogmatismes...
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M
<br /> prends exemple Kévin pour savoir de quoi on parle.<br /> <br /> <br />
E
<br /> Grand Evangile de Jean T1 : auteur Jacob Lorber <br /> CH1,1 : Brève introduction à une compréhension spirituelle de la parole del’évangile de St Jean, l’Apôtre préféré de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ : <br /> Ces versets sont la source d’erreurs et de confusions nombreuses ; les pires adversaires de Dieu se servent de ce texte de multiples façons pour contester Ma divinité., eux qui contestent toutes divinité. <br /> Le temps est venu d’en donner le sens profond véritable à tous ceux qui en sont dignes. Seul est à prendre ici le sens spirituel intérieur. L’expression « Au commencement » est incorrecte et voile le sens profond, car elle semble contester et mettre en doute l’existence éternelle de Dieu, comme l’ont déjà fait certains sages de l’Antiquité qui ont inspiré les athées d’aujourd’hui. Mais avec le texte exact, il sera facile d’en dévoiler très précisément le sens profond. La traduction exacte devrait être : « A l’origine, ou , le fondement originel de toute chose, était la lumière » la grande et Sainte pensée créatrice, l’idée essentielle. Cette lumière était non seulement en Dieu, mais elle était par Dieu. Ce qui signifie que la lumière, non seulement émanait essentiellement de Dieu, n’était donc pas seulement de Dieu, mais aussi près de Dieu, et environnait en quelque sorte l’être divin originel. De cette considération, il en résulte déjà le fondement de l’incarnation divine du fils de l’homme, comme l’éclairera entièrement le texte suivant. Qui était donc à proprement parler cette lumière, cette grande et Sainte idée fondamentale de tout être à venir parfaitement libre ? Ce ne pouvait être que Dieu lui-même, car en Dieu, de Dieu et par Dieu , seul Dieu pouvait représenter Son essence éternelle et parfaite . C’est pourquoi le texte dit : « En Dieu était la lumière, la lumière compénétrait et environnait Dieu, et Dieu lui-même était la lumière. Le second verset se comprend de lui-même, c’est à dire que le verbe ou la lumière ,la grande idée créatrice, n’est pas issue de l’essence divine originelle , mais est de toute éternité une avec Dieu et pareille à Dieu lui-même, de sorte qu’elle ne comporte en soi aucun devenir, ce qui explique pourquoi il est dit : A l’origine, toute existence et tout être à venir était par Dieu, en Dieu, de Dieu lui-même, soit Dieu lui-même de part en part ». Par conséquent, tout être tire son origine de cet être primordial qui est en lui-même de part en part l’origine éternelle de son propre être. La lumière, la parole et la volonté de cet être se sont dégagés de sa propre lumière, son idée créatrice originelle est partie d’elle-même, pour se manifester sous une forme visible. Dans toute l’étendue infinie, rien n’est apparu et n’a pris forme sans être issu de cette origine même et sans être passé par ce même processus. Par la suite , il est facile de comprendre que l’être originel de toute existence, la lumière de toute lumière, la pensée originelle de toute pensée et de toute idée, la forme primordiale en tant qu’origine fondamentale de toute forme ne pouvait être dépourvue de forme et ne pouvait être chose morte, la mort étant le parfait contraire du fondement même de l’être. Ainsi , en cette parole, ou en cette <br /> Lumière et à l’origine de Dieu lui-même, il y avait la vie la plus parfaite. Dieu était donc en lui-même et par lui-même, de part en part , le fondement le plus absolu et le plus éternel et le plus parfait de toute vie. <br /> Cette lumière ou cette vie appelant tout être à la vie, et cette lumière ou cette vie, étant la lumière, étant la vie même en tout être, et en tout homme issu de lui. Ces êtres et ces hommes ont été faits à la parfaite image de la lumière originelle qui est leur condition première de leur existence, leur lumière et leur vie étant parfaitement semblable à cet être primordial éternel. Mais comme la vie originelle divine est, et doit être parfaitement libre, sans quoi elle ne serait pas la vie, et que la vie de tous les êtres créés est et doit être semblable à la vie originelle, sans quoi la vie et la non-vie ne pourraient être, il en résulte clairement, de toute évidence, qu’il ne peut être donné aux êtres créés, aux hommes, qu’une vie parfaitement libre, ressentie comme étant parfaitement libre, sans conclure pour autant que cette vie procède d’eux-mêmes <br /> Mais qu’elle a bel et bien été rendue possible par la toute puissance de Dieu. <br /> <br /> Tout être créé devant avoir la perception que la vie et l’être sont et doivent être à la parfaite image de Dieu sans lequel ils n’auraient ni vie, ni existence. Mais si nous considérons les choses de plus près, il s’avère que deux sentiments se trouvent nécessairement dans tous les êtres créés, soit, d’une part, le sentiment d’avoir en soi la ressemblance divine ou la lumière divine originelle, et, d’autre part, conséquemment à cette lumière, le sentiment d’un devenir progressif par la volonté primordiale du créateur. Le premier sentiment situe la créature dans une ressemblance absolue avec le Créateur, de sorte que la créature se croit issue d’elle même. Le second sentiment qui découle nécessairement du premier, est la conscience d’être issue de cette propre origine primordiale et de s’être manifesté librement avec le temps, tout en se considérant très dépendant de cette origine primordiale. Ce sentiment d’humiliation change la première attitude d’orgueil en sentiment d’humilité, ce qui est infiniment nécessaire, comme il le sera démontré par la suite . <br /> et l’être sont et doivent être à la parfaite image de Dieu sans lequel ils n’auraient ni vie, ni existence. Mais si nous considérons les choses de plus près, démontré par la suite . <br /> Le sentiment d’orgueil combat puissamment ce sentiment d’abaissement qu’il veut réprimer. De ce combat surgit la rancœur et finalement la haine à l’égard de cette origine primordiale de tout être et le refus de se voir abaissé par ce sentiment de dépendance ; c’est ainsi que ce sentiment d’orgueil se raidit et s’assombrit. Au lieu de la lumière primordiale, c’est la nuit et les ténèbres dans cette créature et cette nuit et ces ténèbres ne reconnaissant plus guère en elles la lumière primordiale, elles l’en éloignent aveuglement. C’est ainsi que je suis venu comme l’Eternel être originel de toute existence et comme la lumière primordiale de toute lumière et de toute vie dans le monde des ténèbres, pour tous ceux qui sont issus de Moi mais qui ne m’ont pas reconnu dans la nuit de leur débile sentiment d’orgueil. <br /> . De ce combat surgit la rancœur et finalement la haine à l’égard de cette origine primordiale de tout être et le refus de se voir abaissé par ce sentiment de dépendance ; . C’est ainsi que je suis venu comme l’Eternel être originel de toute existence et comme la lumière primordiale de toute lumière et de toute vie dans le monde des ténèbres, pour tous ceux qui sont issus de Moi mais qui ne m’ont pas reconnu dans<br /> Le cinquième verset montre comment je suis venu en tant que celui que je suis de toute éternité selon Mes proportions et dimensions primordiales, en ce monde que j’ai créé et engendré et comment il ne peut Me reconnaître comme le propre fondement de son être. Certes, je l’avais prévu de toute éternité. Aussi j’ai fais annoncer fidèlement aux hommes Ma venue avec précision par des milliers de voyants que j’ai suscités et qui, dans la lutte, n’avaient pas perdu la lumière. Quand Ma venue s’est réellement opérée <br /> Je l’ai fais suivre de prodiges et j’ai fais surgir un homme en qui demeurait une âme de haute spiritualité qui put annoncer aux hommes Ma venue et Ma présence sur terre <br /> <br />
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H
"Sois un peu plus rigoureux !"Oui, Maître, j'avoue avoir pêché, opposé des arguments ineptes à l'inattaquable rigueur de votre démonstration, je suis désormais votre fidèle indéfectible et je combattrai jusqu'à la mort l'esprit de Satan qui souffle la contestation de vos travaux !
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M
ça y est!      j'ai mon premier adepte !!
H
les mêmes causes produisent les mêmes effets, en effet. Mais un coup sur Pierre et un coup sur Paul sont deux causes distinctes, comme la douleur de Paul et la douleur de Pierre sont deux effets distincts. Le coup sur Pierre provoquera toujours la douleur de Pierre, idem pour Paul.Ensuite pour généraliser, on pourra prendre la cause "un coup sur l'individu x" qui provoquera l'effet "douleur de l'individu x et x seulement". Même cause même effet se vérifie ainsi toujours.Le seul vrai mystère, en ce qui me concerne, c'est pourquoi je viens te démontrer régulièrement tes erreurs alors que tu refuses de voir l'évidence ;-)
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M
Mais ce que tu affirmes est faux. Car si c’était vrai, ce serait vrai pour l’individu y. Donc pour Y :<br /> "un coup sur l'individu x" = l'effet "douleur de l'individu x et x seulement"<br /> <br />  <br /> <br /> Mais Y n’en sait rien !! Il ne peut voir que les effets de la douleur mais jamais en être rigoureusement certain.<br /> <br />  <br /> <br /> Pour qu’il en soit certain, il faut qu’il ait du cœur. Ce qui n’est pas forcément obligatoire (Attila en avait-il ?... par exemple).<br /> <br />  <br /> <br /> Sois un peu plus rigoureux.<br /> <br />  <br />
J
 <br /> La nature de ce qui est éprouvé par la compassion c'est la douleur d'amour. Compassion, veut dire éthymologiquement souffrir avec. L'origine de la souffrance c'est l'amour, la sensation éprouvée est la souffrance dans l'amour. <br /> On peut souffrir pour autrui, avec autrui. <br />  
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J
un peu rigeur suffira : soit C l\\\'ensemble (des corps humain ), soit T l\\\'ensemble des instant (se projéte donc sur R) et un t élément de T, soit c un élément de C  (donc un corps) et c\\\' un élement de C distint de c soit encore D une fonctionne de des élements de C et T vers l\\\'ensemble qui en contient que 0 et 1 ( l\\\'ensemble bolléene, c\\\'est à dire l\\\'ensemble qui conteint vrai faux, que je nomme 0 et 1 ou que je nomme présence et absence peu importe) la fonction D de C*T sur [1;0] est la souffrance :on part du principe déjà ridicule que soit l\\\'on souffre à un intant t, soit l\\\'on ne souffre pas. Si moi, le coprs que j\\\'appelle c, je souffre ) l\\\'instan t alors d(c,t)=1, si à l\\\'instan t1 je ne souffre plus alors d(c,t1)=0Ensuite la velur de d(c) n\\\'est pas nécessairement égale à celle de d(c\\\'), autrement dit ce n\\\'est pas qparceuqe quelqu\\\'un d\\\'autre souffre que je souffre -même si je souffre rien qu\\\' lidée de savoir qu\\\'il y a des gens à qui on arrache les ongles mais enfin bref.Bon, ensuite, on estime que la valeur de d(c,t) dépend d\\\'une cause : et la, on présuppose que la cause n\\\'est pas dans c, mais dans la relation entre c et autre choses, doù l\\\'on déduit que cet autre chose existe, autrement dit : on estime qu\\\'un corps ne dervrai pas souffri (ha bon pouquoi) que s\\\'il souffre c\\\'est à cause d\\\'un cause extérieur, : il y a autre choses ( par exemple quelq\\\'un d\\\'autre) qui entre en relation avec moi (il me frappe) et cela cause un souffrance. Ensuite je ne vois pas le rapport avec dieu. a moins que la nuatrue soit assimilé à un ocprs humain, qu\\\'on présupose que de ce que je souffre al:ors la nature souffre, et que la nature ne peu pas souffri à cause d\\\'ellemême, autrement dit le présupposé de base est que la souffrance est contraire à la nature, ce qui est faus car si la souffrance était contraire à la nature, il sera i juste que je ne craigne pas de me brûller que je je brulle. je préffére craindre le feu que de mourir si sottement.c erla dit encore une fois : liser descarte,troisième méditation précédée des deux précédentes, lisez spinoza (1ére partie de l\\\'éthique, et il vaut mieux auparavant apprendre le latin avec le livre de hans orberg, en troi ans c\\\'est fait?) ils en savent déjà beaucoup sur la recherche d\\\'un démonstration de l\\\'existance de dieu.? pour l\\\'instant vous rester sur le planchet des vaches...
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M
Je n'ai pas tout compris... mais je voudrais dire que je n'ai jamais nié l'existence de la douleur (?), au contraire, et que je ne fais que constater les faits.<br />  Je décris la réalité et je constate que le fonctionnement du corps (humain) ne suffit pas: ce n'est pas si compliqué.
J
Dans toute démonstration il faut un constat fiable ou une hypothèse démontrable sans contradiction. <br /> Pour éviter la contradiction je vais juxtaposer deux de tes (ou "vos" ?): <br /> "NON. Ce n’est pas possible, c’est inenvisageable, inimaginable…"<br /> Validation, étape 3. (samedi 10 février 2007)<br />  <br /> Puis, <br />  <br /> "Oui c'est possible mais pas systématique. Là est la différence." <br /> Réponse à mon commentaire n°8<br />  <br /> Pourquoi tenter de démontrer Dieu comme une matérialité ? Ce qui fonde la preuve de Dieu n'est-ce pas plutôt les actes de compassion des hommes envers d'autres hommes ? Ainsi en est-il de l'abbé Pierre, de mère Thérésa, de soeur Emmanuel, des moines de Tibérine, de saint Vincent de Paul, etc... <br />  <br /> Historiquement, Dieu se présente comme une révélation, pas comme une démonstration. Bien plus, le nom même de Dieu YHWH signifie :"Je suis ce que Je suis", ou, selon la traduction de la Septante : "Je suis celui qui est". Il s'agit de l'affirmation de l'Existence dans le second cas, mais dans la version la plus proche du texte hébraïque original, de la Transcendance. Cette transcendance bien au delà de la conception des hommes...
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M
Ce que je voulais dire, c'est que la compassion et la douleur ne sont pas la même chose: ressentir de la douleur provenant d'un autre corps est impossible, ressentir de la compassion (pour quelqu'un) est envisageable, mais pas systématique.<br /> Le nom de Dieu signifie "je me révèlerai être" et on ne peut trouver meilleur nom pour lui (c'est bien ce qu'il se passera dans l'avenir, comme l'a dit Isaie). D'ailleurs je devrais plus souvent employé ce nom qui lui va si bien: Jéhovah (YHWH).<br />