La vérité contre le reste du monde.
Mon seul recours est peut-être maintenant de porter plainte contre tous ceux qui refusent d’admettre la réalité de ma douleur quand j’ai mal. Or selon l’article 3 de la convention européenne des droits de l’homme, il est interdit de nier la réalité de l’existence de la douleur de l’autre. Juridiquement vous n’avez pas le droit de dire que ma douleur n’est pas réelle. Par contre, vous pouvez toujours affirmer que j’ai mal quand vous vous cognez (ça fera rire le juge). Quand on arrêtera de rire, vous serez obligés d’admettre que je n’ai mal que quand un seul corps est frappé.
Et que donc la différence dans la nature des effets (c’est à dire mal/pas mal) de 2 corps frappés que je constate… est bien réelle.
Maintenant quelques faits pour résumer les arguments des uns et des autres :
Gilbert pète les plombs
Stéphane a nié la réalité de ma douleur (commentaire 23 de cet article) (alors là, le juge va se régaler).
Hector affirme que j’ai nié la douleur des autres (cet adepte va passer au conseil de discipline). Etc… (j’en oublie)
Ça va chauffer. Bon maintenant… question pratique. Comment fait-on pour porter plainte devant la cour européenne des droits de l’homme ?