Nostradamus et l'éclipse de 1999.

Suite à quelques tentatives de déstabilisation orchestrées par des prétendants au trône, je me suis penché sur le rôle « ésotérique » des éclipses. Et plus particulièrement sur ce qui concerne celle de 1999. En effet, 1999 est une des rares dates citées explicitement par Nostradamus.

Quatrain X.72:

L'an mil neuf cens nonante neuf sept mois,

Du ciel viendra un grand Roy d'effrayeur:

Resusciter le grand Roy d'Angolmois,

Avant après Mars regner par bon heur.

Ce quatrain a été très souvent commenté. L’une des interprétations les plus rationnelles est proposée par ce site. L’auteur dit que « 1999, 7 mois » désigne tout simplement… le mois de juillet 1999, calendrier julien (évidemment puisque c’était le calendrier de l’époque). Or juillet 1999 pour le calendrier julien correspond à la période 12 juillet-13 août 1999 du calendrier grégorien (le nôtre). Or l’éclipse du 11 août 1999 a eu lieu pendant cette période. Mais alors pourquoi Nostradamus parle-t-il de cette éclipse et pas de celle de 1961 par exemple (qui a été totale à Salon de Provence) ?

Sans doute pour désigner un endroit :

Il est important de ne prendre en compte que la trace laissée par l’ombre noire de la lune… et pas toute la zone faiblement ombragée qui l’entoure (comme le fait « cémoi » par exemple…). De plus l’endroit désignée doit avoir un lien avec le roy d’angolmois (François 1^er), être sur le 50^ième degré (« venant du 50ème degré, qui renouvellera toute l'église Chrétienne, lettre à Henri) et être une triplicité aquatique : Cent. 1 : 50.

De l'aquatique triplicité naistra,

D'un qui fera le Jeudy pour sa feste

:Son bruit, loz*, regne, sa puissance croistra,

Par terre et mer aux Oriens tempeste.

Le jeudi (futur religion universelle) remplacera le vendredi des musulmans, le samedi des juifs et le dimanche des chrétiens. Conclusion : cémoi est KO.