De la suffisance du corps.
Comme la question de la suffisance du corps est le sujet principal de ce blog, il faut bien que je fasse de temps en temps des petits points récapitulatifs.
Tout le monde semble d’accord pour dire : Corps+coup=douleur uniquement pour la personne ayant ce corps.
Voilà ce qu’on peut dire d’un point de vue global (que certains qualifieront de « point de vue objectif »). Ce « point de vue global » constate ce qu’on peut appeler une identité de fonctionnement. Donc du point de vue de chaque personne, la douleur ne vient que de son corps (vu qu’une personne n’a toujours qu’un corps).
Jusque là, en général, ça va à peu près. Mais quand j’en déduis qu’une personne constate que les effets de ce que l’on fait sur son corps ne sont pas les mêmes que les effets de ce que l’on fait à un corps qui n’est pas le sien…
Problème !
Blocage…
Je ne sais pas pourquoi. Pourtant tout le monde avait l’air d’accord avec :
Corps+coup=douleur uniquement pour la personne ayant ce corps.
Bon, en même temps, c’est rassurant. Apparemment, il ne me reste plus qu’à faire admettre à mes contradicteurs que chaque personne constate qu’un corps qui n’est pas le sien ne « produit » pas les mêmes effets que son corps.