Face à mes ennemis.
Une telle opposition pour un raisonnement aussi simple, c’était pratiquement inespéré. A croire que les internautes veulent me démontrer que Satan est véritablement le prince de ce monde (et qu’il est leur chef).
Quelques exemples de mes « victoires » contre la mauvaise foi :
Celle contre Stéphane est la plus emblématique. En effet, ça fait longtemps qu’il s’oppose avec force mensonges à la plus simple des évidences. Sa tactique est simple : noyez le poisson en essayant de gagner le maximum de temps. Ce qui exclue toute réponse claire à mes questions. Or le droit à poser des questions pour comprendre où je me trompe ne peut m’être enlevé. Après 2000 commentaires, j’ai réussi à lui faire admettre que je constatais des effets différents provenant de causes de même nature (et c’est une performance, croyez moi). Ce qui signifie que je constate un viol du principe « les mêmes causes engendrent les mêmes effets » que nous appellerons PC (pas « parti communiste » mais « principe causal »). Soit je constate un respect du PC, soit je constate un viol du PC. Et bien non, mesdames messieurs, il ne comprend pas ça ! C’est prodigieux de mauvaise foi.
Celle contre Miky (le thésard en philosophie) est aussi très drôle. Dès le commentaire 1 de l’article suivant, il avoue que les causes biologiques ne sont pas les seules en présence. Or c’est exactement ce que je veux prouver. Et il continue à me dire qu’il n’est pas d’accord avec ma conclusion… tout en avouant son évidence (extraordinaire ou pathétique ? Je ne sais plus).
Et je ne parle pas des Alain Bourrely et autres prétentieux qui ont tous abandonné rapidement. Les pires étant bien sûr ceux qui veulent me tabasser et/ou m’enfermer… juste pour avoir dit que douleur et pas douleur sont des effets différents ! (incroyable, pire qu’en Iran ou en Corée du Nord… je suis même certain que les talibans ne sont pas aussi inquisiteurs… vous avez dit « démocratie » ?). En vérité je vous le dis, vous me faites penser à Emile Louis : dans le box des accusés, accablé par une avalanche de preuves de tous ses crimes, il arrivait malgré tout à clamer son innocence. Pris la main dans le sac, vous dites « mais c’est pas moi, c’est le sac qui s’est jeté sur ma main ! ». C’est exactement la même chose (en pire).
Je me dis d’ailleurs parfois que mon raisonnement s’apparente plus à un procès qu’à une démonstration…