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archives 2006-2009

Vrai ou faux: la conscience.

Publié le par Miteny

Il faut répondre par oui ou non (vrai ou faux).

1. « L’existence d’un corps quelconque en vie (et en bonne santé !) est nécessaire et suffisante à l’existence de mes capacités perceptives, de ma conscience, bref de moi. » Supposons que vous répondiez faux (ce qui semble être la réponse la plus logique).

2. « L’existence d’un corps quelconque n’est pas suffisante. Il faut donc autre chose : C. » Supposons que vous répondiez Vrai.

3. Si C est biologique, C fait partie de n’importe quel corps, donc il existe un corps quelconque implique que C existe. Donc il existe un corps quelconque implique « C existe » qui implique (par définition de C) mon existence. Donc 1 devient vrai. Absurde. Par conséquent, C n’est pas biologique, matérielle. Supposons que vous répondiez Vrai. Si C n’est pas biologique, quel est-il ? A part spirituel, je ne vois pas. Il provient obligatoirement d’un esprit cause de lui-même, d’un esprit infini et éternel « sans pourquoi ».  Auriez vous une autre explication ?

Publié dans Archives 2006-2009

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Définitions.

Publié le par Miteny

1. Je définis Mt comme étant l’ensemble des éléments qui satisfont aux deux conditions suivantes (C et D).

C : « Considérons deux éléments appartenant à Mt et ayant la même définition, les mêmes caractéristiques (2 protons identiques par exemple). Si on les mélange bien (c'est-à-dire si un programme aléatoire se réserve régulièrement la possibilité de permuter les deux éléments) alors personne, en les observant dans les mêmes conditions, ne pourra les distinguer l’un de l’autre. »

D : « 2 éléments appartenant à Mt ayant les mêmes caractéristiques, le même fonctionnement, la même définition et sollicités par le même évènement, auront une réaction équivalente. Autrement dit, personne ne pourra distinguer l’un des éléments de l’autre par la spécificité de sa réaction. »

 

2. Je définis la conscience comme étant la capacité d’un être vivant à savoir qu’il existe et qu’il est en train de boire ou de marcher, penser... bref de vivre.

 

3. Dieu peut être considéré comme étant une conscience infinie et éternelle, dont l’essence enveloppe l’existence. C'est-à-dire que Dieu a une conscience infinie de lui-même et de tout ce qui peut exister. Par sa nature, son essence, il sait infiniment bien pourquoi il existe.

Publié dans Archives 2006-2009

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