Bientôt un krach boursier et une crise mondiale.

Publié le par Miteny

Hausse du prix du pétrole et des produits de première nécessité, dérèglements climatiques. Crise économique mondiale, insécurité grandissante (évidemment à force de fabriquer des armes, il y a des gens qui finissent par s’en servir).

Toutes ces menaces se précisent : Récemment j’ai lu sur Agoravox un article alarmiste concernant l’inflation en Asie. D’après l’auteur, bientôt, le prix du pétrole sera si élevé que ses répercussions iront jusqu’à perturber l’industrie alimentaire. Hector nous parle régulièrement du prochain krach boursier. L’Irak, l’Iran, la Palestine  : de vraies impasses dont il faudra pourtant un jour sortir. Ne parlons pas des désastres météorologiques : Inde, Chine, Grande-Bretagne (inondations), Europe Centrale (canicule).

Alors de quoi l’avenir sera-t-il fait ? Hector et son ami Jean-Phi ont-ils raison ? Personnellement je pense que la situation va continuer à se dégrader. On n’inverse pas les tendances comme ça. Et malheureusement, si on ouvre les yeux, on se rend compte que la tendance ce serait plutôt le moins bien… et même le pire.

Publié dans Archives 2006-2009

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G
Miteny est suffisant.<br /> <br /> Le corps suffit!
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S
Comme plus personne d'autre que nous n'a l'air de poursuivre cette discussion je me range à ton avis et je prépare mon mail.<br /> Pourtant Miteny avait là un sujet de débat très intéressant et je ne peux que le remercier de nous en avoir fait profité.<br /> Je déplore juste que tout le monde n'ait pas profité de la chance de trouver ici des avis différents et propices à une discussion constructive qui me semble être la base et le but de tout débat...
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L
"""""Je ne te jette pas de fleurs. Je ne fais que "rendre à césar ce qui est à césar". Je trouve vraiment amusant (ou peut être un peu effrayant) que la personne qui se dresse face à l'opinion générale semble avoir le plus d'arguments."""""<br /> <br /> >> Eh bien... merci.<br /> <br /> """""Je pense que ce qui nous sépare est notre représentation de l'homme. Tu parles de nature humaine, et je trouve ça dommage de ta part, au vu des distinctions bien nettes que tu as mis jusqu'à présent dans le choix de ton vocabulaire. Qu'entends tu par nature humaine?"""""<br /> <br /> >> Ce qu'entendait par là Aristote : l'homme comme être libre et rationnel. Mais, en vertu de ce que nous apprend la science, dont la rationalité et la liberté ne sont pas absolues, en tant qu'elles sont le produit de l'évolution. Ce que personnellement je trouve dommage, c'est le déni moderne de la nature humaine en question. Lire par exemple ce qu'en dit un auteur (et non des moindres) comme Steven Pinker dans "Comprendre la nature humaine", publiée chez Odile Jacob (je possède la version originale *anglaise* numérisée de cet ouvrage, si cela vous intéresse).<br /> <br /> """""C'est ce qui me pose ici problème chez toi. Car tu montres bien à quel point tu t'extraits de la mélasse culturelle dans laquelle nous sommes tous englués, et pourtant tu restes dans l'optique d'une nature humaine exclusivement occidentale, société de consommation depuis bien longtemps et pas issue du libéralisme américain (les sociétés antiques étaient déjà de dignes représentantes de ce fonctionnement). Mais imagine que progressivement nous réduisions notre train de vie, pas au point des pays du tiers monde mais peut être comme certaines des communautés hippies dont je parlais précédemment. Je sais bien que cela semble franchement utopiste mais avec la crainte inspirée par les médias dont je parlais tout à l'heure, cela me semble possible."""""<br /> <br /> >> C'est bien là que nous divergeons, en effet. Pour moi, la nature humaine, ce n'est pas une invention occidentale, c'est quelque chose d'universel dont les différentes cultures constituent des déclinaisons plus ou moins heureuses et diverses. Mais aucune culture (contrairement à ce que prétend la mauvaise anthropologie type Margaret Mead) ne nie le droit de propriété, ni ne bafoue l'interdit de l'inceste, par exemple. Les communautés hippies ? Malgré tout le respect que j'ai pour ces mouvements, je n'y vois qu'une émancipation festive fortement encadrée et permise par la civilisation occidentale même que vous conspuiez tout à l'heure. Mais aucune société durable n'a jamais prospéré à partir des principes propres à ces communautés (par exemple, l'économie du don).<br /> <br /> """""A ce propos justement, tu parles comme moi de propagande écologiste mais nos perceptions de cette propagande diffèrent. Pour résumer, je pense que suite à une prise de conscience de notre irresponsabilité en matière d'environnement des "experts" ont tenté de mettre en garde la population et les médias se sont empressés d'en faire leurs choux gras, ce qui a largement servis les écologistes. Ta vision des choses est beaucoup plus méfiante. Corrige moi si je me trompe mais tu penses que tout ceci n'a pour objectif qu'un but lucratif, ou du moins économique, n'est ce pas? Ou bien, j'aimerais bien savoir quel est selon toi le motif d'une telle propagande. Comme tu le dis si justement, l'application de normes écologiques vraiment efficaces relève du défi. Quel est donc l'intérêt d'inquiéter une population à propos d'un problème qui n'a à l'heure actuelle aucun remède? Que l'on soit influencés, je suis entièrement d'accord, mais si le danger est négligeable, quel est le but de la manœuvre?"""""<br /> <br /> >> Très clairement : le contrôle et l'argent. Le mythe du réchauffement global est exactement ce qu'il fallait aux instances supranationales (type Union européenne, ONU) pour justifier leur ingérence dans les affaires non seulement des Etats mais aussi et surtout de chaque citoyen. Tout se met en place pour instaurer un gouvernement mondialisé, supérieur en droit à n'importe quel gouvernement national et par là parfaitement anti-démocratique (tout ce petit monde se choisissant entre soi, sans consulter personne d'autre qu'eux-mêmes). C'est l'acte de mort de la liberté politique. <br /> <br /> """""C'est ce qui me pousse à rejeter le principe du libéralisme. Ce concept peut avoir de formidables résultats comme il peut engendrer des désastres. Il doit permettre (et c'est même son but) à toute personne dynamique et créative de monter plus facilement un projet lucratif et d'accéder à une meilleure condition sociale. Bien sûr il permet à une élite de sortir du rang et de participer pleinement à la gestion de la nation, mais il permet aussi à une personne de saccager un écosystème en toute légalité sans qu'aucune discussion et analyse du projet soient possibles. Je suis donc d'accord avec toi en ce qui concerne la difficulté de résoudre les problèmes écologiques dans l'état actuel des choses. Mais les possibilités humaines ne doivent pas être restreintes à celles qui ont lieu dans un système libéral. D'autres modes de fonctionnement sont possibles et je pense que la crainte d'un problème écologique majeur peut pousser les gens à s'adapter à un système nouveau. L'homme a prouvé qu'il pouvait s'adapter à de nombreuses situations climatiques, géographiques, politiques et j'en passe… pourquoi ne serait il pas capable de changer encore une fois?"""""<br /> <br /> >> La question n'est pas de savoir si l'homme est capable de changer mais dans quelles conditions "on" (les fameuses instances supranationales précitées) va lui *imposer* de changer et dans quel but exactement. Par ailleurs, j'ai peur que vous méconnaissiez le libéralisme, que vous semblez réduire à son seul aspect économique, alors que le libéralisme est d'abord et avant tout une théorie du droit, la seule qui mette l'individu au centre de ses préoccupations, la seule authentiquement humaniste. Vous déplorez qu'une personne puisse saccager un écosystème en toute légalité, sans comprendre que cela n'est possible qu'en vertu du caractère "public" de l'écosystème considéré. Si quelqu'un saccage ma maison, je peux vous assurer qu'il aura quelques ennuis. Si quelqu'un saccage un jardin public... Qu'importe, le contribuable paiera, jusqu'à la prochaine fois. Ce n'est pas un hasard si les plus beaux (si j'ose dire) désastres et gaspillages naturels sont le fait des Etats. <br /> <br /> """""J'espère sincèrement poursuivre cette discussion"""""<br /> <br /> >> Avec plaisir. Je vous propose de poursuivre en privé, afin de ne pas encombrer le blog de Miteny, avec lequel j'ai par ailleurs clos toute discussion. Voici une adresse mail où me contacter : le_fantome_dans_la_machine@yahoo.fr<br /> <br /> Au plaisir de vous lire. :-)
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S
Je ne te jette pas de fleurs. Je ne fais que "rendre à césar ce qui est à césar". Je trouve vraiment amusant (ou peut être un peu effrayant) que la personne qui se dresse face à l'opinion générale semble avoir le plus d'arguments.<br /> <br /> Je pense que ce qui nous sépare est notre représentation de l'homme. Tu parles de nature humaine, et je trouve ça dommage de ta part, au vu des distinctions bien nettes que tu as mis jusqu'à présent dans le choix de ton vocabulaire. Qu'entends tu par nature humaine?<br /> C'est ce qui me pose ici problème chez toi. Car tu montres bien à quel point tu t'extraits de la mélasse culturelle dans laquelle nous sommes tous englués, et pourtant tu restes dans l'optique d'une nature humaine exclusivement occidentale, société de consommation depuis bien longtemps et pas issue du libéralisme américain (les sociétés antiques étaient déjà de dignes représentantes de ce fonctionnement). Mais imagine que progressivement nous réduisions notre train de vie, pas au point des pays du tiers monde mais peut être comme certaines des communautés hippies dont je parlais précédemment. Je sais bien que cela semble franchement utopiste mais avec la crainte inspirée par les médias dont je parlais tout à l'heure, cela me semble possible.<br /> A ce propos justement, tu parles comme moi de propagande écologiste mais nos perceptions de cette propagande diffèrent. Pour résumer, je pense que suite à une prise de conscience de notre irresponsabilité en matière d'environnement des "experts" ont tenté de mettre en garde la population et les médias se sont empressés d'en faire leurs choux gras, ce qui a largement servis les écologistes. Ta vision des choses est beaucoup plus méfiante. Corrige moi si je me trompe mais tu penses que tout ceci n'a pour objectif qu'un but lucratif, ou du moins économique, n'est ce pas? Ou bien, j'aimerais bien savoir quel est selon toi le motif d'une telle propagande. Comme tu le dis si justement, l'application de normes écologiques vraiment efficaces relève du défi. Quel est donc l'intérêt d'inquiéter une population à propos d'un problème qui n'a à l'heure actuelle aucun remède? Que l'on soit influencés, je suis entièrement d'accord, mais si le danger est négligeable, quel est le but de la manœuvre?<br /> <br /> C'est ce qui me pousse à rejeter le principe du libéralisme. Ce concept peut avoir de formidables résultats comme il peut engendrer des désastres. Il doit permettre (et c'est même son but) à toute personne dynamique et créative de monter plus facilement un projet lucratif et d'accéder à une meilleure condition sociale. Bien sûr il permet à une élite de sortir du rang et de participer pleinement à la gestion de la nation, mais il permet aussi à une personne de saccager un écosystème en toute légalité sans qu'aucune discussion et analyse du projet soient possibles. Je suis donc d'accord avec toi en ce qui concerne la difficulté de résoudre les problèmes écologiques dans l'état actuel des choses. Mais les possibilités humaines ne doivent pas être restreintes à celles qui ont lieu dans un système libéral. D'autres modes de fonctionnement sont possibles et je pense que la crainte d'un problème écologique majeur peut pousser les gens à s'adapter à un système nouveau. L'homme a prouvé qu'il pouvait s'adapter à de nombreuses situations climatiques, géographiques, politiques et j'en passe… pourquoi ne serait il pas capable de changer encore une fois?<br /> <br /> J'espère sincèrement poursuivre cette discussion<br />
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L
Samuel, <br /> <br /> Merci pour les fleurs. Néanmoins, je ne partage pas votre analyse. "Changer nos modes de vie", c'est exactement la visée de la propagande actuelle, au prétexte d'un problème prétendument "global" dont les preuves sont pour le moins défaillantes. Des objectivistes américains (publiant le journal "The Objective Standard", que vous pouvez trouver sur la toile) ont récemment sorti, avec humour, des produits dérivés de leur lutte contre l'environnementalisme/écologisme ambiant : des tee-shirts et des mugs portant la mention "Exploit the Earth or Die" ("exploiter la Terre ou mourir"). L'homme, pour assurer sa subsistance, ne peut faire autrement que d'exploiter les ressources naturelles et de les transformer. C'est la raison pour laquelle tout le discours sur la décroissance, le "changement de nos modes de vie", et j'en passe, ne tient pas la route trente secondes. Qu'il y ait des choses à améliorer dans notre utilisation des ressources naturelles, c'est certain. Qu'il y ait des problèmes écologiques à résoudre, c'est certain aussi. Mais ce qui est encore plus certain, c’est que ce n’est pas en niant notre humaine nature que nous relèverons ces défis avec succès. Pour prendre un exemple, c'est toute la différence entre le protocole de Kyoto, inappliqué (y compris par les Européens qui font la leçon aux Etats-Unis...) parce qu'inapplicable et les accords de Vientiane – dont la presse européenne n'a étrangement pas parlé – qui allient problématique écologique et objectifs économiques, en faisant le pari de l’innovation (soit le propre de l’homme). <br /> <br /> Les véritables précurseurs laissent les prophètes de malheur à leur harangue funeste et travaillent pour demain. <br /> <br /> Cordialement.
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S
désolé pour ce petit problème de mise en page, je ne comprend pas
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S
je t'admire loïc! lol tou seul depuis le <br /> <br /> début face à cett horde de zombies qui <br /> <br /> répendent du mieu k'ils peuvent le poison <br /> <br /> distillé par des média souvent intéressés <br /> <br /> plus par la crainte du peuple (ki pousse <br /> <br /> celui ci à se jeter sur le numéro suivant <br /> <br /> comm le dernier épisode d'un feuilleton) ke <br /> <br /> par la vérité.<br /> <br /> je suis d'accord avec toi pour ce ki est de <br /> <br /> la nécessité de bien séparer les écologistes <br /> <br /> fanatik de l'écologie cependant je suis un <br /> <br /> peu plus inquiet que toi. je pense k'il n'y <br /> <br /> a pas de fumée sans feu et k'il se cache un <br /> <br /> réel probleme derrière tou ce tonerre <br /> <br /> médiatik. les gens ne vont pas changer leurs <br /> <br /> habitudes pour les beaux yeux de l'écologie. <br /> <br /> ce tapage est donc nécessaire pour attirer <br /> <br /> l'attention du grand public sur les dangers <br /> <br /> de leur mode de vie.<br /> <br /> <br /> vou vou battez à coup de chiffre et d'avis <br /> <br /> contradictoires ki témoignent bien de la <br /> <br /> complexité de la situation. de nombreux <br /> <br /> paramètres sont en jeu et tout expert ne <br /> <br /> peut se pencher sur tous à la fois, ce qui <br /> <br /> suffirait à expliquer la variété des <br /> <br /> opinions présentées si on se pouvait se <br /> <br /> permettre de considérer comme insignifiant <br /> <br /> le paramètre politik... ce ki me semble <br /> <br /> difficile lol.<br /> <br /> dc au lieu de débattre sur le poucentage <br /> <br /> d'implication de l'homme sur le <br /> <br /> réchauffement climatik, ou sur sur son <br /> <br /> existance pour les sceptik, demandez vou <br /> <br /> s'il convient de changer notre mode de vie <br /> <br /> pour vivre ds un meilleur respect de la <br /> <br /> nature. car kel ke soit notre influence sur <br /> <br /> le phénomène, je pense (je suis trè loin d'etre un expert) k'il est clair ke notre façon de fonctionner (on agit d'après les retombées financières et pas selon leurs implications sur l'environement) n'est pas la plus belle leçon ke l'on puisse transmettre aux générations futures.<br /> <br /> Pour revenir au sujet initial, dont le débat <br /> <br /> s'éloigne (ou plutot se concentre sur le <br /> <br /> point écolo), le problème écologique est <br /> <br /> devenu assez effrayant (à cause des média) <br /> <br /> pour faire réagir les gens sur leur mode de <br /> <br /> vie : consomation du pétrole, de l'eau, de <br /> <br /> l'électricité. changer les mentalités est <br /> <br /> possible. le mouvement hippie ki se <br /> <br /> défendait d'une société de surconsommation <br /> <br /> peut etre un exemple à suivre (pas sur tout <br /> <br /> mai pour quelques grandes lignes). je pense <br /> <br /> que ce sauvetage de la nature pour aider <br /> <br /> l'humanité, bien que très hollywoodien, me <br /> <br /> semble une bonne chose. ce n'est pas le <br /> <br /> résultat qui compte c'est l'action, les <br /> <br /> efforts fournis pour tendre vers ce <br /> <br /> résultat. bien sùr la Terre a essuyé des <br /> <br /> catastrophes qui peuvent sembler bien plus <br /> <br /> grave, et bien sùr on ne sait pas dans quels <br /> <br /> proportions on est à l'origine de certains <br /> <br /> phénomènes. mais dans le doute, il vaut <br /> <br /> mieux changer nos habitudes, adopter une <br /> <br /> attitude plus respectueuse de notre <br /> <br /> environnement et plus saine. on ne peu pas <br /> <br /> nier que la polution des grandes villes <br /> <br /> atteint certaines personnes sensibles du <br /> <br /> système respiratoire. c'est bien la preuve <br /> <br /> d'une erreur de parcours pour l'humanité.
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L
Je vois que Loïc est un très grand climatologue qui à l'air est très sûre de ce qu'il dit...
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L
"""""Si la caricature est mal venue, surveille alors ton emploi du terme "fascisme", si j'en suis venue à la caricature, c'est un peu parce que c'est toi qui as commencé."""""<br /> <br /> >> C'est ton interprétation. Il me semble que j'ai au contraire toujours pris soin de réaliser de saines distinctions, précisément pour ne pas tomber dans la caricature : écologisme (ou écologie politique) vs. écologie. Je critique le premier, je soutiens la seconde (je dirais même que je critique le premier parce que je soutiens la seconde). Et le terme de fascisme ne désigne pas seulement les régimes politiques de funeste mémoire, mais plus généralement, par extension, toute attitude signant le totalitarisme, en l'occurrence, dans le domaine intellectuel : le "réchauffement climatique" n'est pas une théorie qui se peut discuter, mais un dogme qu'il s'agit d'accepter sous peine d'être frappé d'excommunication, en attendant des sanctions plus expéditives. Le GIEC est le type même de l'instance politique supranationale qui impose sa volonté aux Etats grâce à son paravent scientifique. <br /> <br /> """""Maintenant, pour ce qui est des faits, je ne prétends pas connaître tout ce qui se passe, peut-être suis-je manipulé ?"""""<br /> <br /> >> Je ne prétends pas connaître tout ce qui se passe non plus, j'use simplement de mon esprit critique, comme je peux le faire à l'égard de n'importe quel autre sujet. Quant à être manipulé, j'ai bien peur que nous le soyons tous peu ou prou. Raison de plus pour ne pas croire n'importe quoi sans preuves solides (par exemple, le prétendu "trou" dans la couche d'ozone, qui a conduit à l'interdiction des CFC, sans que le "trou" en question ne soit jamais mis en évidence, ni que l'influence des CFC soit démontrée). <br /> <br /> """""Ton histoire de banquise qui se reforme et dont le volume global augmente, j'aimerais tes sources, histoire de voir si elles sont plus fiables que celles qui me disent le contraire."""""<br /> <br /> >> Voici deux références sur la question : <br /> <br /> - Vinnikov, K.Y. et al. (2006), A model assessment of satellite observed trends in polar sea ice extents, Geophysical Research Letters, 33, doi 10.1029/2005GL025282.<br /> <br /> - Howat I.M. et al. (2007), Rapid changes in the ice discharge from Greenland outlet glaciers, Science, scienceexpress doi : 10.1126/science.1138478<br /> <br /> """"""Sinon, l'heure de vérité est plus proche que l'on ne croit, selon certains : http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/271695.FR.php""""""<br /> <br /> >> Oui, j'avais lu ça dans la presse anglo-saxonne spécialisée. Ce qui est amusant, pour le coup, c'est que cela signifie qu'ici et maintenant, pour tous nos grands "experts", il n'y a pas de "réchauffement global". Non, ce dernier va arriver, un jour... Mais comme il faut rester cohérent et justifier l'agit-prop actuelle, on fixe une date. Toute une mise en scène fantasmatique, un peu comme le bug de l'an 2000 ou la fin du monde en 2012 prévue par le calendrier maya.
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F
Pas besoin d'être très futé pour voir que les choses vont mal!<br /> <br /> Et alors? Tu les lis journaux (et t'es très mal informé) et tu croises les bras? Tu viens pas sauver la planète? lol
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H
Si la caricature est mal venue, surveille alors ton emploi du terme "fascisme", si j'en suis venue à la caricature, c'est un peu parce que c'est toi qui as commencé. Maintenant, pour ce qui est des faits, je ne prétends pas connaître tout ce qui se passe, peut-être suis-je manipulé ? Ton histoire de banquise qui se reforme et dont le volume global augmente, j'aimerais tes sources, histoire de voir si elles sont plus fiables que celles qui me disent le contraire.<br /> Sinon, l'heure de vérité est plus proche que l'on ne croit, selon certains : http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/271695.FR.php
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A
Pas les écolos Hector, les pingouins. Ce sont les pingouins qui attaquent des tranches de banquise à coup de grille-pain pour nous innonder tous et éliminer ainsi la concurrence sur la pèche à la sardine.<br /> <br /> C'est pourtant l'évidence même!<br /> <br />
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L
Hector Gnole,<br /> <br /> L'ironie et la caricature me semblent mal venues dans ce genre de débat. Surtout lorsqu'on prétend rendre compte de la posture de l'adversaire. Ainsi que je l'ai précisé à plusieurs reprises, je distingue clairement écologie et écologisme. Ce dernier étant la forme dévoyée à des fins politiques de la première. Le mythe du "réchauffement global", le GIEC (vincent a d’ailleurs raison de critiquer la composition de ce groupe d’"experts", comme le prétendu consensus qu’il aurait dégagé), c'est de l'écologisme. Les véritables problèmes écologiques, en revanche, je n'en entends jamais parler dans les médias, ni ne les vois évoqués par les "experts" du GIEC. Un exemple : l'océan, qui est le poumon de la planète (et non pas les forêts, contrairement à ce qui se répète bêtement) et va mal, ce qui est préoccupant. Et puis, il faut prendre tous les faits et non pas seulement ceux qui arrangent tel ou tel. La banquise fond à certains endroits, c'est exact. Et se reconstitue à d'autres, donnant un volume général en augmentation, là aussi contrairement à ce qui est généralement affirmé. Aussi, je maintiens – et l’avenir nous le dira très vite – : l’écologisme sera le fascisme de ce siècle. Tout se met en place peu à peu : le dogme, l’élimination des opposants, l’idéal charitable coordonnant les efforts des masses. Tout ça me fait personnellement bien plus peur qu'un quelconque "réchauffement global".
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M
Effectivement l'avenir nous le dira très vite... Est-il possible que les statistiques nous le disent déjà?
H
Loïc a 100% raison : la fonte des glaciers et de la banquise, c'est un complot des écolo-fachos qui les attaquent au chalumeau. D'ailleurs dans leur réunion secrète, les verts ont pour slogan "ein planet, ein rabbit, ein laitue", on reconnaît tout de suite la filiation écologique. En attendant, nous vivons sous la terreur : le secteur de l'énergie échappe à la libre entreprise, plus de transport aérien, plus de produit en plastique ou agicoles venus de l'hémisphère sud, le consumérisme est criminalisé, on brime les bienfaiteurs de l'humanité qui veulent créer de magnifiques nouvelles espèces. Réagissons, tous en 4x4 pour saccager les champs bio !
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M
Il paraît qu'ils portent des cagoules oranges pour ressembler à des carottes...
V
Je ne pense pas que se soient les activitées humaines qui soient à l'origine du réchauffement, le GIEC composé d'ailleurs en majorité de pseudo scientifiques sont dans l'erreur ou bien mente (pour quelle raison ? je n'en sais rien), les spécialistes du climat ont d'ailleurs signé une pétition visant à reconnaitre que le réchauffement n'est pas totalement due à l'effet de serre mais qu'il y a en ce moment une augmentation de l'intensité solaire provoquant le réchauffement.<br />
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M
Bizarre, j'ai lu le contraire.
L
Alexia,<br /> <br /> La méchanceté ne te va pas au teint. Quant au "réchauffement global", j'ai répondu, arguments à l'appui, à Miteny, avant qu'il n'abandonne et passe à autre chose pour faire oublier son revers, comme à l'accoutumée. Il y a des inondations en Europe, c'est exact, mais pas dans toute l'Europe, à d'autres endroits, c'est au contraire la sécheresse. Est-ce quelque chose d'inhabituel ? Je regarde la télé et j'entends les commentaires des journalistes : "des inondations comme on n'en avait jamais vu... depuis 30 ans, ou 60 ans". Bref, en réalité, des inondations comme on en a déjà vu, comme cela arrive régulièrement, sur une échelle de temps plus ou moins longue, partout sur la planète. Faire immédiatement le lien avec le "réchauffement global", c'est réaliser un non sequitur. Exemple, qui date d'hier, en Turquie : pénurie d'eau à Ankara. Sans doute le "réchauffement global". Eh bien, non : la mauvaise gestion de l'eau par la mairie, erreur qui se mue en cruauté dans un pays naturellement porté à la sécheresse. Ca n'empêche pas les gens d'être dans la merde, comme tu dis. Finalement, je n'ai jamais nié qu'il y avait des changements climatiques : ça aussi, ça fait partie de la Nature. Ce que je conteste, c'est 1) que ces changements climatiques soient essentiellement imputables à l'homme alors que rien ne le prouve, au contraire (exemple de l'effet de serre : Mère Nature dépasse de très loin ce que donne l'activité humaine) et 2) que ces changements climatiques participent d'une tendance "globale". Même le GIEC reconnaît les énormes disparités entre les climats de la planète, ainsi que son impuissance à en rendre compte. Mais disant cela, le GIEC affirme quand même haut et fort qu'il y a un "réchauffement global". Un magnifique exemple d'honnêteté intellectuelle. Je rappelle aussi pour mémoire qu'il y a un peu plus de 30 ans, c'était un "refroidissement global" que les mêmes "experts" nous annonçaient... Et je préfère ne pas rentrer dans les considérations politiques, tant il est évident que le véritable enjeu est là. Plus rien pour mater les foules, pour les dominer. Plus d'idéologie du bonheur. Alors on en invente une : l'écologisme (après le nazisme, supposé donner naissance à un homme nouveau et le communisme, supposé sauver l'humanité souffrante, voici l'écologisme, mélange des deux premiers : il s'agit cette fois de sauver l'humanité en sauvant la planète, mais pour ce faire, l'humanité doit changer par l'application d'un néo-paganisme postmoderne qui n'aurait pas déplu aux nazis). Ca promet plus de dégâts que toutes les catastrophes naturelles annoncés par les Cassandre qui incarnent ce nouveau fascisme. Le plus significatif, c'est le changement de ton à l'égard de ceux qui ne croient pas au mythe : il y a encore quelques mois, il était encore permis de douter. Désormais, c'est fini. Tout sceptique à l'égard du "réchauffement global" est un hérétique qu'il faut soit convertir, soit éliminer. Quand on ne lui souhaite pas carrément que le mauvais sort s'occupe de lui, histoire qu'il accepte enfin de penser correctement.<br /> <br /> <br /> Hector Gnole,<br /> <br /> Je connais Sorman, bien sûr, mais j'ai surtout lu les auteurs libéraux, ceux que personne ne connaît en France alors que ce fut l'un des berceaux du libéralisme. Il est vrai que les étudiants d'aujourd'hui, si leurs professeurs ne manquent pas de leur inculquer la bonne leçon de Marx et Engels, oublient (le plus souvent parce qu'ils ne les connaissent pas eux-mêmes : mortifère reproduction du système éducatif...) Bastiat, Turgot, Constant, pour ne citer que ceux-là. Comment s'étonner dès lors que le libéralisme soit devenu le bouc émissaire dans un pays aux ordres d'un cadavre (comme dirait Maurice Druon) ?
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M
Je rappelle pour la nième fois que la notion de réchauffement global est une réalité évidente. Exemples: les ères glaciaires.<br /> Nies tu la réalité de l'existence des ères glaciaires?
H
Personnellement, je n'ai pas d'avis, je n'ai fait que relayer les infos de Jean-Phi qui est un spécialiste des circuits financiers, y'a trois mois qu'il me parle du carry trade et hop! depuis deux jours, j'entends plus que ça.<br /> A mon avis, Loïc a lu Guy Sorman...
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A
Je suis moins pessimiste que toi Miteny, je pense qu'on peut inverser des tendances comme ça... mais je pense aussi qu'on ne le fera pas. J'ai déjà acheté un bon fauteil pour assister comfortablement à notre déclin. Il serait idiot de manquer un si beau spectacle en plus c'est gratuit.
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A
Force est de constater que Loïc est pour ce qui est le l'état de la planète d'une aussi profonde mauvaise foi que toi mon Miteny avec le corps et la douleur.<br /> <br /> Peut-être qu'il habite en Suisse et qu'il n'a pas la TV. Je te souhaite charitablement Loïc d'être innondé un bon coup comme toute l'europe l'a été cet été. On verra bien quand tu auras les deux pieds dans la merde et une pelle en main devant les ruines de ton chez toi pourtant pas construit en zone innondable et d'ailleurs jamais innondé de mémoire d'homme si les changements climatiques te sembleront toujours autant une vue de l'esprit d'écoterroristes. L'expérience directe, y'a que ça de vrai.
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M
Je précise que je ne suis pas de mauvaise foi et que normalement, s'il y avait des gens ne serait-ce qu'un petit peu raisonnable sur la planète (un petit peu... un tout petit peu), on admettrait facilement que chaque personne n'a mal que si son corps est frappé.<br /> En fait, la non-suffisance du corps (l'existence de Dieu) est la première des évidences. C'est dire à quel point la société dans laquelle nous vivons se fourvoie dans l'erreur !
L
"""""1. Tu oublies tout de même que le réchauffement est une réalité."""""<br /> <br /> >> Non, c'est un mythe qu'une certaine propagande nous présente comme une réalité. En revanche, la planète Mars se réchauffe bel et bien : quelle explication ont donc les experts du GIEC à ce phénomène ? La pollution des Martiens ?<br /> <br /> """""Tout comme la destruction de toute la planète par l’humanité."""""<br /> <br /> >> Affirmation aussi creuse que vague. Les catastrophes naturelles, qui ont toujours existé, avant même l'humanité, serait le fait de l'humanité ?<br /> <br /> """""Ce sont des faits. Nous en avons déjà discuté."""""<br /> <br /> >> En effet, nous en avons déjà discuté et aucun des "faits" que tu as présentés n'a résisté à un examen rationnel. En dehors de ta mauvaise foi habituelle. <br /> <br /> """""Le taux de C02 est anormalement élevé, les espèces disparaissent. Ce sont des faits."""""<br /> <br /> >> Le taux de CO2 est anormalement élevé par rapport à quelle norme ? (sachant que le taux de CO2 a toujours varié, par périodes, là aussi bien avant que l'homme existe) Et dans quelle mesure la misérable contribution de l'humanité à cette "élévation" affecte-t-elle les climats par rapport à l'énorme contribution de Mère Nature ? (je répète : 3 W/m2 contre 155 W/m2) Des espèces ont toujours disparu. Certaines disparitions sont dues à l'homme, je suis bien d'accord et il faut faire quelque chose contre ça, je suis toujours d'accord. Mais cela n'a aucun rapport avec le "réchauffement global" et l'action écologique doit être entreprise de manière intelligente, pas comme les "écologistes profonds" et autres fanatiques au seuil de l'éco-terrorisme. <br /> <br /> """""Tu dis que notre époque apparaît bien moins menaçante. En Europe occidentale peut-être mais partout ailleurs pas forcément."""""<br /> <br /> >> Comme à d'autres époques l'herbe a pu être plus verte ailleurs qu'en Europe. La roue tourne. Et au regard des épreuves qu'a traversées l'humanité au cours des âges, je maintiens, notre époque, pour déstabilisante qu'elle soit, n'est pas particulièrement difficile. <br /> <br /> """""2. Des armes nucléaires, il y en a toujours eu ? C’est bien connu, les hommes de Neandertal se battaient à coup de bombe H. Tout le monde sait ça J <br /> <br /> Tu ne pourrais pas être un petit peu sérieux, Loïc ?"""""<br /> <br /> >> Je suis très sérieux. L'armement nucléaire change la donne en apparence. Car chacun sait la puissance de cet armement et ce que son utilisation impliquerait. La preuve avec la guerre froide : nous sommes toujours là. Et d'une certaine manière, on peut même dire que la guerre froide a constitué un facteur d'équilibre politique au niveau mondial. Le problème n’est donc pas l’armement, mais l’usage qu’on en fait. Et cet usage participe de stratégies guerrières qui n’ont pas changé, parce que la nature humaine n’a pas changé. <br /> <br /> """""3. Le déclin de quoi ? Du chiffre d’affaires des plus riches ? Désolé mais ce déclin là n’existe pas. Et mon idéal n’est pas un monde où il n’y a que des très riches et des très pauvres. C’est pourtant ce monde là que le libéralisme fabrique."""""<br /> <br /> >> Tu ignores ce qu'est le libéralisme pour affirmer une chose pareille. Tu fais comme tout gauchiste de base (et en France, le gauchisme concerne tout l'éventail des partis politiques, tant nous sommes pris dans cette idéologie mortifère) : tu confonds libéralisme et capitalisme. Et par ailleurs, tu perpétues les mythes à propos de la mondialisation, en parlant des riches et des pauvres : avec la mondialisation, tout le monde s'est enrichi. En revanche, ce qui est exact, c'est que malgré cet enrichissement général, le fossé entre les riches et les pauvres s'est creusé. Mais ce n'est pas du tout la même chose que de dire que "les riches deviennent de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres", sorte de vulgate néo-marxiste elle aussi tout à fait dans l'air du temps et sur toutes les bouches alter/anti-mondialistes.
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M
Etrange point de vue. 3/155 Watt peut très bien perturber le climat ?<br />  <br /> <br /> Tu ne parais pas très lucide en fait.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> La nature humaine n’a pas changé, mais les moyens mis à sa disposition, oui. De quoi s’inquiéter, non ?<br />  <br />
L
- L'avenir est ce que nous en faisons. Et objectivement, contrairement au discours alarmiste bien dans l'air du temps que tu reprends à ton compte, nous ne vivons pas une période particulièrement difficile. Qu'on songe simplement aux grandes épidémies de peste et aux guerres de religion et tout soudain notre époque, pour angoissante qu'elle soit (parce que mettant en jeu de plus en plus de complexité et ce de plus en plus vite, qui peut, honnêtement, prétendre qu'il suit le mouvement ?), apparaît bien moins menaçante.<br /> <br /> - Des catastrophes naturelles, il y en a toujours eu, il y en a et il y en aura toujours : seulement, aujourd'hui, les catastrophes en question sont exploitées par le fascisme du nouveau siècle, "l'écologisme" (que je distingue clairement de l'écologie) avec son mythe du moment, le "réchauffement global" (si tant est que cette expression signifie quelque chose). Tout est la faute du "réchauffement global" : il fait chaud ? c'est le "réchauffement global". Il fait froid ? Le "réchauffement global" encore. La sécheresse ? Le "réchauffement global". Des inondations ? Devinez quoi : le "réchauffement global". J'en viens même à me demander si ton inaptitude à raisonner, Miteny, n'aurait pas pour cause ce fameux "réchauffement global"...<br /> <br /> - Des guerres larvées, il y en a toujours eu, il y en a et il y en aura vraisemblablement encore. A mon humble avis, les guerres ne cesseront que le jour où les humains auront un ennemi commun, en face. Mais un vrai, pas un fabriqué de toutes pièces comme le "réchauffement global", qui est au contraire un outil de guerre économique. <br /> <br /> - Enfin, la peur de la défaillance du marché, qui fait toujours recette (si j'ose dire), a elle aussi une utilité : justifier l'étatisme croissant de nos démocraties, alors même que ledit étatisme se révèle, à l'évidence, comme l'une des causes principales de notre déclin. Et dire qu'on taxe Sarkozy de libéral, alors que c'est un keynésien bon teint, un (tout petit) peu moins interventionniste que les autres...
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M
1. Tu oublies tout de même que le réchauffement est une réalité. Tout comme la destruction de toute la planète par l’humanité. Ce sont des faits. Nous en avons déjà discuté. Le taux de C02 est anormalement élevé, les espèces disparaissent. Ce sont des faits.<br />  <br /> <br /> Tu dis que notre époque apparaît bien moins menaçante. En Europe occidentale peut-être mais partout ailleurs pas forcément.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 2. Des armes nucléaires, il y en a toujours eu ? C’est bien connu, les hommes de Neandertal se battaient à coup de bombe H. Tout le monde sait ça J<br />  <br /> <br /> Tu ne pourrais pas être un petit peu sérieux, Loïc ?<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 3. Le déclin de quoi ? Du chiffre d’affaires des plus riches ? Désolé mais ce déclin là n’existe pas. Et mon idéal n’est pas un monde où il n’y a que des très riches et des très pauvres. C’est pourtant ce monde là que le libéralisme fabrique.<br />  <br />