Dieu fait bien les choses.
Il n’y a pas si longtemps que ça, je me suis rendu compte que pour moi, la douleur (et la conscience en général) n’était fabriquée que par un seul corps :
Celui qui porte le nom de « grand Monarque Henri », né 7 temps après la destruction du temple de Salomon en un lieu construit par le Roy d’Angolmois (et non pas « d’engueule-moi »… ou pire), une triplicité aquatique située à 50°N (lire « la lettre à Henri » et les centuries de Nostradamus), etc.…
Ce qui signifie que le corps ne suffit pas. Car ce corps n’a rien d’exceptionnel. Il n’y a aucune raison qu’il puisse fabriquer quelque chose de plus que le corps de Brad Pitt par exemple. Et pourtant c’est bien ce qui se passe. Pourquoi est-ce que j’habite ce corps là et pas un autre ? C’est sans doute la question que Jésus s’est posé avant d’en déduire qu’il était le fils de Dieu. Il pouvait dire qu’il était le fils de Dieu car il avait compris que le corps ne suffisait pas et qu’il fallait autre chose. Il avait saisi la nature transcendante de l’esprit. Cependant, l’existence de la douleur, de l’individualité de la conscience, n’est qu’une « trace » de l’existence de Dieu. Et ce n’est pas parce qu’on a vu une trace qu’on a vu la bête et qu’on sait à quoi elle ressemble.