L'an 01.

Publié le par Miteny

« L’An 01 est à l’origine une bande-dessinée utopiste et écologiste de Gébé, publiée sous forme de série dès 1970 dans Politique Hebdo. En 1973, Jacques Doillon en fait son premier film, avec la complicité d’Alain Resnais (pour la partie américaine) et de Jean Rouch (pour la partie africaine). Une pléiade de jeunes comédiens, bientôt célèbres, y font leur première apparition à l’écran. Tout arrêter : arrêter de consommer, de produire, de travailler. Ce principe se répand comme une traînée de poudre, pour finalement mettre à bas l’organisation sociale existante. Partout dans le monde, de New-York à l’Afrique, la nouvelle se répand par les journaux. L’An 01 peut commencer... »

1972, l’an 01… formidable, non ? (ça c’est un sacré signe). Ça devait être bien les années 70. J’aurais aimé vivre à cette époque là (je suis né à cette époque là… c’est presque pareil, non ?). En tout cas, j’aimerais bien voir ce film futuriste (prophétique presque).

PS : en 1972, il y avait aussi la comédie musicale « Jésus Christ superstar » et le film de Jean Yanne « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » où il est également souvent question de Jésus Christ de Nazareth (c’est bon, j’ai balancé ma dose de mots-clés).

Publié dans Archives 2006-2009

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G
Miteny est suffisant.<br /> <br /> Le corps suffit!
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S
J'ai vécu les années 70 (j'ai 50 balais) et c'est vrai que c'était quand même mieux que maintenant même si tout n'était pas rose. Mais faut pas réver : y'avait aussi de sacré problèmes ; des patrons abusifs qui ne déclaraient pas leurs employés par exemple ; j'en ai fait les frais et quand j'ai été malade, ça a été ma première catastrophe. Les recours étaient dérisoires. On se berluraient pas mal.<br /> Mais j'ai connu aussi des choses super, des amitiés qui durent encore aujourd'hui.<br /> Je connais le film "An O1", je l'ai vu quatre ou cinq fois. Un rêve où il faut en prendre et en laisser. Mais je n'ai pas renié mes idées ; j'étais un "jeune con écolo" (sic les beaufs de l'époque), je suis aujourd'hui un "vieux con écolo de salon" (sic les beaufs d'aujourd'hui), sauf qu'en fait de salon, j'ai encore trois hectares de terre où je manie la scie la hache et le plantoir (j'y implante des fleurs rares), et si ces gus qui ne voient la nature qu'à travers le viseur d'un flingue avaient autant travaillé la terre que je l'ai fait dans ma prime jeunesse, ils auraient peut-être moins envie de la détruire.
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