L'argument qui tue.
Mon corps est frappé. Moi, je suis sûr d’avoir mal. Vous, vous êtes sûr de ne pas avoir mal. Ces deux points de vue sont tout à fait respectables… et tout aussi vrais l’un que l’autre. Voilà le nœud de ma brillante démonstration. Vous n’allez pas me dire que vous contestez ces faits plus qu’évidents !
En fait, comprendre la non suffisance du corps est fondamentale, on devrait l’apprendre dès l’école primaire (et d’ailleurs ce sera le cas à partir de 2012). Même Nietzsche le savait puisqu’il a écrit : « Je crains que nous ne puissions nous débarrasser de Dieu, parce que nous croyons encore à la grammaire… ».
Et à partir de quelle classe on apprend la grammaire ?? Mmm ?
Je sens que l’on va encore me chercher des poux (même si je ne vois pas comment à moins de nier qu’une personne n’a pas mal quand… elle n’a pas mal !!), c’est pourquoi je vais citer immédiatement une autre phrase de Nietzsche. « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ».